Chronique de la famille de Cevillé 1638 f°8 de 162
Ces photos sont là pour protéger ce document rarissime. Cette chronique a été intégralement retranscrite, analysée (car tout n'est pas crédible), commentée et complétée. Reportez vous à :  Chronique des Ceville.HTML | histoire des Goucet de Cevillé.PDFhistoire des Cevillé.PDF  
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appartenant à ladite Thieurine Goucet. (elle) se remaria en segondes nopces avec Mathurin Cevillé et prirent tous deux ladite Ollive Cheviller à nourrir et acquitter pour son revenu comme en appert par l’acte Dvt Lenfantin du 17 Septembre 1534. Elle demeura veuve pour la segonde fois par la mort dudit Mathurin Cevillé par acte du 6 Février 1546. Ils eurent de leur mariage Mathurin, Guyonne, Jean, Macé et François les Cevillés
Elle mourut à Cevillé sur les 10 h du matin le 16 Janvier 1589 jour et fête du nom de Jésus. Elle fut enterrée à Châtelais au cimetière ou il assista 20 prêtres, auxquels on donna à chacun 5 s suivant le mémoire qu’en a dressé Mathurin son fils. Elle avait fait son testament dès le 3 Juin 1573 par lequel elle désirait être enterrée au cimetière de Châtelais. Elle avait pour lors Jean Bodinier et Guillaume Eveillard pour ses valets, ledit Guillaume est encore présentement en vie et demeure à Cevillé.
Thieurine Goucet était apellée, à ce qu’il dit, « la Reine des Femmes ».
Elle vécut avec Cheviller 7 ans et avec Cevillé 15 ans. Ledit Ceville comme j’ai remarqué en sa vie vécut jusques à 1549. Elle fut 49 ans veuve. Je remarque qu’elle était descendue des Goucets de Cevillé qui auparavant se nommaient « les Cevillés », sous André et avant lui.
Elle fut mariée audit Mathurin Cevillé qui sans doute était descendu du même père que ceux de Cevillé et comme d’une même fontaine sortirent 2 ruisseaux dont l’un était de Cevillé et l’autre à la Chesnais aux Cevillés près Marsillé, lesquels 2 ruisseaux se réunirent dans les personnes de Mathurin Cevillé et Thieurine « Goucet alias de Cevillé » environ l’an 1533.
Cela étant ainsi et encore qu’on ne se peut marier entre parents collatéraux qu’il n’y eut 5 degrés de distance non compris le père ou tronc commun dont est la sortie, il fallait nécessairement et non plus près qu’ils fussent sortis d’un Cevillé qui fut père de Macé que nous avons mis le premier en ordre, et tout au moins, il vécut à Cevillé ou aux environs en l’an 1300, depuis laquelle on peut probablement

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