Contrat d’apprentissage de couturier à Angers, 1523

manifestement en famille, mais on fait tout de même un contrat devant notaire. Mieux, la clause de prison pour cause d’absence est aussi présente. On ne plaisantait pas plus en famille que pour n’importe quel apprenti.

J’ai trouvé cet acte aux Archives Départementales du Maine-et-Loire, série 5E121 – Voici sa retranscription (voir ci-contre propriété intellectuelle) :

Le 27 mai 1523 en la cour du palais d’Angers (Nicolas Huot notaire Angers) personnellement estably Thomas Heon cousturier demourant à Angers d’une part,
et Franczois Heon demourant en la paroisse de Tiercé et Jehan Heon son fils d’autre part
soubzmectans lesdites parties eulx leurs hoirs confessent etc avoir aujourd’huy faict les marchés pactions et conventions telz et en la manière qui s’ensuit
c’est à scavoir que ledit Franczoys Heon a baillé et baille ledit Jehan Heon son fils audit Thomas Heon pour estre et demourer avecques luy comme apprenty le temps de trois ans commençant du jour et feste de la Penthecouste davant passée jusques à troys ans après ensuivans et suivant l’un l’autre sans intervalle de temps
pendant lequel temps de trois ans ledit Thomas Heon sera tenu nourrir coucher et laver ledit Jehan Jeron et luy monstrer son mestier de cousturier au mieulx qu’il pourra
aussi a promis et promet ledit Jehan Heon servir bien et loyalement ledit Thomas Heon son maistre en toutes choses licites et honnestes ledit temps de trois ans durant et faire tout ce que ung bon serviteur et apprentiz doit faire
et pour ce faire et accomplir par ledit Thomas ledit Franczoys Heon a promis doibt et demeure tenu paier et bailler audit Thomas la somme de 8 livres 10 sols tz paiables aux termes qui s’ensuivent c’est à savoir la somme de 4 livres 5 sols à la feste de Toussains prochainement venant et pareille somme de 4 livres 5 sols dedans la feste de Toussaints que nous dirons 1524, le tout rendable en ceste ville d’Angers en la maison dudit Thomas Heon et aux cousts et mises dudit Franczoys Heon
et sera tenu en oultre ledit Franczoys Heon vestir et entretenir ledit Jehan Heon son fils de tous habillements à luy nécessaires chausses souliers et chemises bien et honnestement selon l’estat dudit Jehan ledit temps durant de troys ans
auxquelles choses dessus dites tenir et accomplir, et aux dommages l’un de l’autre etc obligent lesdites parties l’une vers l’autre etc et les biens et choses dudit Francoys Heon à prendre vendre etc et le propre corps dudit Jehan Heon à tenir prison et houstage en le chartre d’Angers ets renonçant etc foy jugement condemnation etc
présents ad ce Estienne Heon maistre cordonnier demourant en la paroisse de saint Pierre d’Angers et Guillaume Pihouées prieur de saint Jehan des Mauvrets ainsi qu’il dit tesmoins
fait et donné à Angers les jour et an susdits

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Toiles de Laval voiturées par eau d’Angers à Tours par des voituriers d’Orléans : 1547

J’ai arrêté la télé pendant la canicule. Trop d’infos me traitant toutes les 5 minutes d’idiote qui ne sait pas boire

Revenons à l’article du jour.
C’est bien à Tours qu’ils vont livrer, et ils ont 8 jours pour faire d’angers à Tours.
Donc, si j’ai bien compris, les voituriers d’Orléans prenaient tous les contrats de voiturage qu’ils pouvaient rencontrer lors de leur passage et sans doute étaient-ils parfois sans voiturage.
En outre j’ai compris que les toiles de Laval étaient venues à Angers par eau, mais que les voituriers de la Loire étaient différents, car le fleuve demande à être connu. Donc pour livrer ses toiles à Tours Denouault, le marchand de Laval, devait d’abord les faire transporter par voiturage par eau jusqu’à Angers, puis changer de transporteur car ce ne sont pas les mêmes voituriers qui assurent le transport sur Loire.
En tous cas les voituriers par eau d’Orléans faisaient aussi des transports intermédiaires.
Enfin, l’acte qui suit, très ancien, est un peu abimé, mais en grande partie lisible, mais ne soyez pas étonnés du nom du port, car après avoir déchiffré ce nom je me suis souvenu qu’au 16ème siècle Nantes avait sa rue des Fumiers, et je pense beaucoup de ville aussi.
Et en cherchant l’histoire de Tours, je vous confirme le nom et voici le lien en cliquant sur cette phrase.

J’ai trouvé cet acte aux Archives Départementales du Maine-et-Loire, série 5E2 – Voici sa retranscription (voir ci-contre propriété intellectuelle) :

Le 1er juillet 1547 en la cour du roy notre sire à Angers etc estably Macé Arcau et Martin Deschamps voituriers par eau demeurant à Orléans paroisse de Notre Dame de Recouvrance, soubzmetant eulx et chacun d’eulx seul et pour le tout confessent que Mathurin Denouault marchand demeurant à Laval leur a baillé et livré le nombre de 8 pacquets de toiles blanches, avecques ung petit pacquet de serviettes, lesquelles toilles et serviettes dessusdites lesdits Arcant et Deschamps et chacun d’eulx seul ont promis rendre bailler et livrer audit Denouault ou qui commission aura de luy bien et deument (f°2) ainsi qu’il appartient et sans les gastées ou endommagées rendues et deschargées au port de Maufumyer de Tours dedans de demain en 8 jours prochainement venant à leurs despens dommages et intérests acquités de tous acquits fors que ledit Denouault acquitera en ceste ville d’Angers ; et est fait ce présent marché pour la somme de 3 escuz sol que ledit Denouault a promis payer auxdits voituriers à la livraison desdites toilles et serviettes, et seront tenus lesdits voituriers aller (effacé) la venue desdites toilles et serviettes ad ce qu’ils les fassent estimer et (effacé) (f°3) a ce tenir etc dont etc obligent lesdits Arcant et Deschamps chacun d’eulx seul etc et leurs corps à tenir prinson renonçant mesmes au bénéfice de division d’ordre etc foy jugement condemnation etc présents ad ce René Ge…marchand apothicaire

Je vous mets la vue qui donne le nom de l’apothicaire car j’ai du mal à déchiffrer son nom, et je voudrais voir s’il est dans mon tableau des apothicaires sur mon site.

Les Nantais se fournissaient en chapeaux à Vertais en Saint-Sébastien d’Aigne : liste des 9 chapeliers en 1710

Les Nantais se fournissaient en chapeaux à Vertais en Saint-Sébastien d’Aigne : liste des 9 chapeliers en 1710. Le chapelier a alors un métier chimiquement polluant et dangereux pour sa santé, car les produits qu’il utilise lui laissent peu de chances de faire de vieux os.
Vertais, près de la Loire, situé alors à Saint Sébastien d’Aigne, sert aux Nantais de faubourg ouvrier, ou plutôt artisanal comme on disait alors, car on n’avait pas encore les usines, mais des artisans indépendants, même si les liens entre eux existaient.
Donc en 1710 le chapeau est fabriqué surtout extra-muros, et les Nantais peuvent s’en féliciter, mais franchissent les nombreux ponts venir faire ces courses indispensables.

Voici donc les chapeliers en Vertais, mais pas une fabrique unique, des artisans indépendants, que vous allez découvrir plus ou moins importants car leur capitation varie de 50 sols à 130 sols. Cette imposition est représentative des artisans.

voici ave le Numéro de page, lieu, nom, métier, capitation en sols :

3r Vertais Renou François chapelier 50
6r Vertais Bonin Pierre chapelier 60
4r Vertais Dargelot Bernard chapelier 60
4r Vertais Gretier René chapelier 60
1v Vertais Lecoq André chapelier 60
3v Vertais Marchand Olivier chapelier 60
3r Vertais Rideau Pierre chapelier 60
3v Vertais Tisseront Guillaume chapelier 70
4v Vertais Denis Rolland chapelier 130

Les armateurs Nantais se fournissaient en armes à Vertais en Saint-Sébastien d’Aigne : liste des 7 armuriers en 1710

Vertais est le faubourg oublié de Nantes
Oublié, car situé de fait sur la paroisse de Saint-Sébastien-d’Aigne jusqu’à la Révolution.
Hors de Nantes, et surtout sans paroisse et sans église propre, les habitants de Vertais vont à la messe au prieuré Saint Jacques de Pirmil. Ce qui signifie qu’il leur faut franchir la Loire par le pont de Pirmil. Et le pont de Pirmil a une manie : il s’effondre souvent dans l’histoire, car la Loire, seule fleuve sauvage d’Europe, a là un bras totalement indompté. On compte au moins 22 effondrements, et j’ai mémoire personnellement de 2 l’un vécu du temps de ma maman, l’autre hélas dû à la seconde guerre mondiale.

Mais pourtant c’est à Vertais que les habitants de Nantes viennent faire beaucoup de courses. Vous ne vous imaginez tout de même pas qu’on fabrique tout en plein coeur d’une ville !!! surtout ce qui fait encore plus de bruit, car déjà le bruit est élevé du fait des chevaux et voitures à cheval sans pneumatiques sur les pavés !!! et puis il y a des fabrications peu saines, comme alors le chapeau de feutre.

à Vertais on comptait en 1710, selon le rôle de capitation (impôt)
1. les armes (7 armuriers). Ce nombre élevé tient probablement au fait qu’on arme surtout pour la marine et l’armée.
2. les chapeaux (6 chapeliers)
3. les cordiers (4 cordiers) etc…

Armes et cordes sont nécessaires pour les armateurs !

Voici donc la fabrique d’armes en Vertais, mais pas une fabrique unique, des artisans indépendants, que vous allez découvrir plus ou moins importants car leur capitation varie de 30 sols à 150 sols.

voici ave le Numéro de page, lieu, nom, métier, capitation en sols :

4v Vertais d’Arque Pierre armurier 30
5r Vertais Joutel Claude armurier 30
2v Vertais Jardin Toussaint armurier 50
4v Vertais Gareau Mathurin armurier 70
6v Vertais Guibert Nicolas armurier 80
5v Vertais Durant Laurend armurier 90
4r Vertais Normand Jacques armurier 150

Pelissonnier : métier à Vertais (Saint Sébastien) en 1710

Dans le faubourg artisanel très dense de Vertais on trouvait en 1710 un pelissonnier, et il était très aisé, infiniement plus aisé qu’un cordonnier etc…
Donc son métier rapportait très confortablement sa vie.

Mais hélas, les dictionnaires anciens ne donnent rien sur pelissonnier ou même pelisson, si ce n’est que je trouve sur le Dictionnaire du Moyen Français (1330-1500) http://www.atilf.fr/dmf/definition/pelisson

PELISSON, subst. masc.
COST. « Vêtement de dessous, porté par les hommes et les femmes, fait d’une pelleterie cousue entre deux tissus, en sorte que la fourrure n’apparaît que sur les bords »

Cette fantaisie me paraît tout à fait excessive, mais la piste de la fourrure me semble bien plus probable, et je suppose donc que ce pelissonnier n’était autre qu’un fourreur et qu’on portait déjà des manteaux de fourrure.
Merci de vos avis et de me signaler si vous avez déja rencontré ce terme.

Quand Clisson fabriquait encore voitures et brocs : annuaire de 1938

Eh oui, en 1938, CLISSON n’avait pas changé !
On retrouve les mêmes métiers qu’en 1887, et je suis toujours aussi stupéfaite du nombre de sages-femmes etc…
Le cheval est encore là !
et je m’étais trompée hier, les ferblantiers sont encore là avec leurs seaux, arrosoirs et broc en fer blanc.

Les voitures sont déjà automobiles bien qu’en quantité encore limitée.
En rouge, les métiers disparus.
En bleu, les métiers remarquables !!! Voyez ainsi les sages-femmes !!! Elles étaient plus nombreuses autrefois !

Et les forains ! car Clisson a toujours de nos jours une foire du vendredi matin qui draîne toutes les activités et tous les environs. A voir, car nous ne connaissons rien de tel à Nantes.

 

Voici CLISSON, selon l’annuaire de la Loire-Inférieure, 1938 (numérisé en ligne sur le site des AD) 

CLISSON, chef-lieu de canton de l’arrondissement de Nantes, à 27 km de Nantes. — Population totale : 3 051 – Population agglomérée : 2465 – Electeurs inscrits ; 459
Cette vielle ville date du IXème siècle et tient une grande place dans l’histoire des guerres de Bretagne. En 1796, Kleber mit le feu au château de Clisson pour empêcher les Vendéens de s’y retrancher, puis à la ville elle-même. Le sénateur Cacault et le sculpteur Lemot en firent plus tard la reconstruction. Fabriques de toiles, de droguet, de futaine.
Conseiller général : Maujouan-du-Gasset, maire de Gorges
Conseiller d’arrondissement : Docteur Boutin
Maire : Albert Ferdinand
Adjoints : Aillet Henri, Méchinaud Pierre
Conseillers municipaux : Branger, Perraud Emile, Guichet Jules, Lecoq René, Pellard Constant, Lesimple Emile, Delhoumeau Augustin, Chiron Auguste, Bouteiller Auguste fils, Fromageau E., Loiret Jean, Lorre Auguste, Poiron Joseph, Pavageau Henri, Richard Léon, Guilbaud Clément, Marchand Prosper.
Secrétaire de mairie : Langlet Victor
Juge de paix : Havard.
Greffier de paix : Albert
Perception : Adouin.
Contributions indirectes : Contrôleur principal : Le Cainec
Enregistrement : Morin.
Gendarmerie : Brigadier : Champigny.
Agent-voyer : Bernard
Délégation cantonale : Chénoir, Emon fils, chevalier.
Garde-champêtre : Brangeon Marcel.
Délégué aux listes électorales : Fromageau Emile, Chiron Auguste.
Clergé : Paroisse Notre-Dame : Jamin, curé. Guimard, vicaire. Paroisse de la Trinité : Couillaud Charles, curé. Guillet, vicaire.
Instituteurs : Ecoles publiques. – Garçons : Oustay, directeur; Guibert, Oustay (Mme) adjoints. Filles : Collineau (Mme), directrive; Martin (Mme) adjointe. Maternelle : Robert (Mlle). – Ecoles privées – Garçons : Schweitz, directeur. Filles (pentionnat) : Mabilais Marie (Mlle).
Postes : Hy, receveur.
Bureau de Bienfaisance : Gautret Abel, Albert Ferdinand, Langlois René, Thomas-Lacroix, Langlet, Huteau, Fleurance.
Sapeurs-Pompiers (subdivision) : Couteau Edmond fils, lieutenant.
Receveur-buraliste : Turpault
Débit de tabacs : Paquereau Eugène, Planchot (Vve).
Société de secours mutuels de Clisson (1ère) : Lesimple Adolphe.
Société l’Etoile de la Sèvre : Chevalier J.-Baptiste.

  • PROFESSIONS

Articles de pêche : Taté, rue des Halles.
Auberg. et débit. de vins : Braud j. en ville ; Dupeyroux Eug., Gouraud A.n carrefour de la Vallée ; Grellier, Champ-de-Foire ; Boissieau P., petite rue st-Jacques; Brochard Alp., rue des Halles ; Merlaud, Champ de Foire ; Paquereau, Halles ; Rocheteau Fernard, à la Madeleine ; Guicheteau L., ville ; Guillou (Vve), au Champ de Foire ; Rivière, ville ; Hervouet Alex.n Trinité ; Jouny-Brunet Eloi, Champ de Foire ; Bourdon, à la Trinité ; Méchinaud Alexand., ville ; Sauvion, à la Trinité ; Dupont (Mme) à la Trinité ; Rivière, place du Minage ; Richard, ville; Thomelet Armand ; Richard (Vve), route de Montaigu ; Cahélo Charles ; Salmon, Saint-Jacques ; Luneau (Vve), Trinité ; Guérin Louis, la Maison Rouge ; Malécot-Riffault, place st Jacques ; Allain, à la gare ; Petit Auguste, buffetier, à la gare ; Arnaud Victor, àl a gare ; Vinet Lucien, à la gare.
Bois : Aillet Jules, en ville.
Bouchers : Martin Louis, Ville ; Cadou, Trinité ; Limouzin Donatien ; Goilot René ; Hilereau (Vve), st Jacques ; Coiffard, à la Trinité.
Boulangers : Barband, Trinité ; Batard Eugène, Trinité ; Bouet, Trinité ; Bouet, Trinité ; Robard, ville ; Bodet, ville.
Bourreliers : Mabit Pierre, Champ de Foire ; Bourdon Léon, à la Trinité.
Buanderies (loueurs de) : Branger Louis, Nidoie ; Lelièvre Auguste, ville ; Lesimple Adolphe, Trinité.
Bougies et cierges : Denis, Trinité
Chapeliers : Boutin-Barbotin, ville ; Levron, ville ; Braud Théodore, à la Trinité ; Chiron, ville.
Charbonniers : Barteau, en ville ; Fertellière ; Pallard Constant, à St Jacques ; Bahuaud, à St Jacques ; Plazia, Trinité ; Chatelier, au Champ de Foire.
Charcutiers : Martin-Garciau, ville ; Dourneau, rue de la Poissonnerie ; Richard, Sauvion Prudent, Trinité et Gallon, Trinité.
Charpentier : Babonneau, en ville.
Charrons : Dupeyroux, ville ; Drouet François, Porte-Palzaise ; Léauté, St Jacques ; Gautier, Porte-Palzaise.
Chaudronniers : Fontaine, ville ; Durville Albert, ville ; Delestre, rue des Halles.
Chaussures en gros : Augereau fils ; Thibaud Paul.
Chiffonniers : Guillaumic Soudeille, à St Jacques ; Guillaumy, ville ; Allo, Trinité.
Cinéma : N…
Cirier : Denis, à la Trinité
Cloutiers : Durville (Vve), ville ; Guicheteau Simon, St Gilles : Coiffard, Trinité.
Cochons (Md de) : Sauvion Prudent, à la Trinité.
Coiffeurs : Joyau, ville ; Lidoff, Trinité ; Phelippeau, Totila, ville ; Francheteau, ville.
Cordiers : Merlet frères, ville.
Cordonniers : Landriau, rue des Halles ; Ménard Célestin, st Jacques ; Lemoine ; Lesimple Adolphe, la Trinité ; Nérat, St Jacques.
Couteliers : Merlet, ville ; Ménard, ville.
Couturières ; Dugast Georgette (Melle), Saint-Antoine ; Mandin Marie (Mlle), Trinité ; Herbert (Mlle), Trinité.
Couvreurs : Vogne, rue des Halles ; Fontaine, rue de la Poissonnerie ; Delestre, rue des Halles ; Creuzé, Trinité.
Docteurs-médecins : Doussain Charles fils, ville ; Gautret A., Trinité ; Boutin Maurice, route de Nantes ; Robin, route de Cugand.
Drapiers : Bremaud Adolphe, à st Jacques ; Richard Jules, ville ; Delhommeau (Mlle), à la Trinité ; Poilane, Gétigné ; Chupin Henri, St Gilles ; Méchinaud, en ville;
Eaux-de-Vie : Boizia, ville
Electricité : Société Nantaise d’Electricité, Graveleau, contre-maître.
Entrepreneurs : Couteau Edmond, Trinité ; Leroux Jean, au Sauzais; Richard, au bourg ; Cornu ; Colombet G. route de Cugand ; Mercier Célestin, route de Saint-Hilaire.
Epiciers : Lusseau, Haute-ville ; Pouvreau, St Jacques ; Duret Mathurin, en ville ; Fournier Aug., ville ; Planchot (Vve), ville ; Ménard C., ville ; Batard, Douerie ; Praud François, Trinité; Lusseau Henri, château ; Lacroix Jean-Baptiste, rue des Halles ; Blanloeil, Porte-Palzaise ; Caïffa, Trinité ; Durand, rue des Halles ; Bernaben, Trinité ; Mouette, rue des Halles.
Equarisseur : Thibaud, L., St Gilles
Expert : N…
Faïences : Luneau-Paquereau, Trinité ; Fradin, château ; Pouvreau, St Jacques.
Fers (March. de) : Pallard Constant, St Jacques.
Ferblantiers : Durville Alb., ville ; Pradel Cyprien, St Gilles ; Fontaine, ville ; Delestre, rue des Halles ; Creuzé, Trinité.
Filateurs : Deloroche et Richard et Cie.
Forains : Ménard Armand, ville ; Guicheteau, route de Cugand ; Chiron, ville.
Forgerons : Batard, Douerie ; Bellamy Arthur, Champ de Foire : Cahélo E., Porte-Palzaise ; Loire, la Gare.
Fruitiers : Lepine Pierre, Trinité ; Picherit Isidore, route de Nantes ; Douillard Aug. à la Trinité ; Baudry (Vve), ville.
Grainetiers : Batard, Trinité ; Bretaudeau François, St Jacques.
Herboristes : Rubion.
Horlogers : Chauveau Em., rue des Halles ; Fleurance fils, ville ; Guicheteau Georges, Trinité ; Luneau, Trinité.
Hôtels : Milaguet Gabriel, ville ; Hilaireau place st Jacques ; Braud place st Jacques ; Guérin, la Maison-Rouge ; Allain, la Gare ; Vinet, la Gare.
Huissier : Mondeguer
Laines : Lorre et Boullault.
Liqueurs : Boizia et Boutin, la Gare.
Maréchaux-ferrants : Pavageau Henri, Trinité ; Housset Georges, ville.
Menuisiers : Tessier H., Trinité ; Praud François, Trinité ; Petit, la Gare ; Charrier, route de Nidoie.
Merciers : Sigg, Trinité ; Lore et Boullault, ville.
Meuniers : Branger, minoterie de Nidoie ; Neau Mathurin, à Gervaud.
Notaires : Lecoq René, ville ; Roinet, rue de la Gare.
Pantoufles (fabr. de) : Augeron Eugène.
Pâtissiers : Guilbaud, rue des Halles ; Charliac, Trinité.
Peintres : Goubeau Zacharie, en ville ; Poindessault, la Trinité ; Renolleau Victor, Trinité ; Rabiller Camille, Saint Jacques.
Plâtriers : Gautier Alexandre fils, ville ; Mabit Marcel, à Nidoie ; Conteau Emile, place de la Trinité.
Pharmaciens : Baudry F., ville ; Méneux, ville.
Poissons : Luneau Firmin, Ville.
Quincailliers : Durville (Vve), ville ; Launay Alexis, Trinité.
Sabotiers : Richard A., à la Vallée ; Bizon, Trinité ; Sourisse Jean-Baptiste, Ville.
Sages-femmes : Caillaud, Jamonneau, Charreau.
Serruriers : Bellamy, Cahélo, Trinité.
Tailleurs : Foulonneau, rue des Halles ; Aubron, à la Trinité ; Brémaud Adolphe, Saint-Jacques.
Tanneurs : Méchineau Pierre, Trinité.
Tapissier : Bourdon Léon, Trinité.
Tissus (March. de) : Chupin H., ville : Richard Jules, en ville ; Delhommeau, Trinité ; Méchinaud, ville.
Tourneur : Méchinaud, ville.
Vaches (Md de) : Mouillé Alfred, à Nidoie ; Chiron Armand, aux Mortiers.
Vanniers : Veteau René, ville : FOulonneau, à la Trinité.
Vétérinaires : Pic.
Vins : Boizia, ville.
Voitures : Trochu P., ville : Thomelet Armand et Thomelet Alfref ; Guilbaut et Poupart.
Voituriers : Litou J. Baptiste, ville ; Fonteneau, St Jacques ; Morisson, Trinité.