Les 7 occupants du pavillon du cimetière Saint Jacques : Nantes 1851

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Dans quelques jours la Toussaint, et nous fleurissons déjà nos tombes, nous visitons déjà les cimetières.

La ville de Nantes, propriétaire des cimetières municipaux, avait fait construire dans les années 1840 ce qu’elle appelait un PAVILLON à l’entrée du cimetière Saint Jacques, afin d’y loger celui qu’elle appelait le PORTIER. Ce pavillon existe toujours, composé de 2 pièces, l’une ouvrant sur l’entrée, servant de bureau pour consulter de nos jours le garde, quand il est là. Je vous propose d’abord de bien comprendre le terme PAVILLON, car dans les recensements il est RARISSIME et semble bien spécifique à l’entrée du cimetière, et dans tous les cas de petite maison et/ou maison basse, elles sont appelées MAISON. Bref, on ne s’attend pas à ce que le PAVILLON soit habité.

PAVILLON Le Dictionnaire de l’Académie française. Sixième Édition. T.2 [ 1835 ] en Architecture, Corps de bâtiment ordinairement carré, appelé ainsi, à cause de la ressemblance de sa forme avec celle des pavillons d’ armée. Sa maison ne consiste qu’ en un pavillon. Il a bâti un pavillon au bout de son jardin. Un corps de logis entre deux pavillons. Un corps de logis ayant un pavillon au milieu. Gros pavillon

On comprend ici que le pavillon n’est pas tout à fait une maison. Pourtant au cimetière Saint Jacques à Nantes en 1851, c’est le logement du portier.

La rue qui voisine le cimetière, appelée alors ROUTE DE CLISSON, possède quelques maisons mais surtout des jardins, et les maisons sont habitées par une famille par pièce. Vous avez bien lu, autrefois, et encore quelques décennies, on vivait UNE FAMILLE PAR PIECE. Et bien sûr, pour l’hygiène, une pompe et des aisances dans le jardin.

Revenons au pavilon du cimetière Saint Jacques. Il sert donc de logement au PORTIER, mais le portier ne vit pas seul, c’est le moins qu’on puisse dire car il a femme, 5 enfants, et même une tante, soit en tout 8 personnes dans ce pavillon, certes de 2 pièces, dont l’une ouverte au public, dans laquelle il y a certainement une table/bureau et une petite armoire pour le/les registres d’entée, car c’est le premier rôle du portier. Je suppose que les lits étaient dans la pièces arrière et qu’on dormait plusieurs par lit.

Voici donc ce portier et sa famille, logés dans le pavillon de la ville de Nantes, au cimetière Saint Jacques.

pavillon, 2 pièces RDC MESNARD Joseph portier 52 m Mouzillon
BARRÉ Marie sa femme 49 m Thiere
MESNARD Joseph enfant 18 c Haie Fouassière
MESNARD Augustine enfant 15 c Haie Fouassière
MESNARD Louise enfant 13 c Nantes
MESNARD Louis enfant 9 c Nantes
MESNARD Adèle enfant 5 c Nantes
GUITTON Françoise tante 76 c

m pour marié, c pour célibataire, et à droite c’est le lieu de naissance, vous l’aviez deviné. Donc le portier vient de Mouzillon, car à l’époque on arrive nombreux sur Nantes. Et voici la preuve et source, c’est à dire les Archives Municipales de Nantes (mes copies d’écran vous prouvent toute la source et ces documents donnent même à gauche le nom du propriétaire, ici bien entendu LA VILLE) :

Je suis certaine que si vous entrez dans ce cimetière, vous vous souviendrez de cette famille, logée ainsi. Bonnes fêtes de Toussaint à vous et fleurissez bien.

 

 

Jeanne de Belleville : l’immense poëme épique d’Emile Péhant, 1868

Voici le début de cet immense poëme, sous forme de chanson de geste. Olivier de Clisson est au loin et son épouse demeure avec ses jeunes fils au château de Clisson, enfin, selon le poëme d’Emile Péhant. 

PREMIÈRE PARTIE

L’ATTENTE

– LE DONJON DE CLISSON[1]

Une femme, un enfant sont seuls dans le donjon,
D’où le regard découvre un immense horizon.

La femme, l’œil humide et la joue amaigrie,
Brode d’un doigt distrait une tapisserie,
Où, comme en un tableau, revivent les exploits
Du glorieux époux dont son cœur a fait choix.
L’enfant, épanoui dans le bonheur de vivre,
Feuillette, en souriant, le vélin d’un gros livre,
Où la couleur et l’or, artistement mêlés,
Font flotter dans l’azur de beaux anges ailés.

Mais l’enfant rose et blond fait semblant de sourire ;
Épiant en secret sa mère qui soupire,
Son oblique regard suit ses émotions.

Soudain, levant des yeux tout pleins de questions :
— « Vous avez renvoyé, dit-il, mes gouvernantes
Et je surprends toujours votre œil tourné vers Nantes. »

-« J’ai besoin d’être seule, enfant, pour qu’à mes pleurs,
Nul ne devine ici mes secrètes douleurs. »
-« Mère, pourquoi pleurer ? Vous êtes châtelaine,
Bien riche, bien puissante, et notre cour est pleine
De soldats, dont les bras sauraient nous protéger,
Si les Montfort osaient jamais nous assiéger.
Voyez comme les murs sont épais et solides[2]. »
-« Oui, ce chastel est fort et nos gens intrépides :
C’est une âme robuste en un corps vigoureux ;
Le péril, quel qu’il soit, n’a pas d’effroi pour eux.
Votre peur, Olivier, n’est donc qu’une chimère. »
-« Ma peur ! Je n’ai jamais connu la peur, ma mère.
Chaque fois que j’entends des récits de combats,
Je tressaille et voudrais me mêler aux soldats,
Pour essayer un peu comment coupe la hache
Que je tiens de mon père. Oh ! je ne suis pas lâche ! »
-« Votre père !. Olivier, vous tenez trop de lui :
En parlant de combats, votre regard a lui.
Oh ! je ne voudrais pas éteindre en ta jeune âme,
Cher fils, l’ardent foyer dont j’admire la flamme ;
Mais se battre toujours! Mais n’aimer que le sang!
Si grand que soit le cœur, reste-t-il innocent ?
Ah ! quand donc verrons-nous la paix enfin renaître ? »

Et la femme, en pleurant, penchée à la fenêtre,
Fouillait de son regard le lointain horizon ;
Mais rien que la poussière ou l’aride gazon,
Un brouillard lumineux, aussi vague qu’un songe,
Et le chemin désert, qui tourne et qui s’allonge.

Si sur ce tableau vide ainsi son œil se tend,
Qu’est-ce donc, ô mon Dieu ! que cette femme attend ?

-« Vous ne m’avez pas dit, mère, pourquoi vos larmes ;
Car vous n’avez pas peur, n’est-ce pas ? de nos armes.
Quand mon père, entouré de ses soldats nombreux,
Couverts de fer, souvent tout noirs ou tout poudreux,
Apparaissait là-bas sur la route de Nantes,
Sans vous inquiéter de vos robes traînantes,
Vous descendiez en hâte et, le pont abaissé,
Au-devant des soldats marchant d’un pas pressé,
Vous passiez au travers de leurs rangs, sans rien craindre,
Et, d’ici, je voyais mon père vous étreindre. »

-« Tu ne sais pas le mal que tu me fais.
Tais-toi, Tais-toi, cher Olivier. » — « Oh! dites-moi pourquoi,
Mère, vous pleurez tant, et je saurai me taire. »
-« Pour toi, fils bien-aimé, je n’ai pas de mystère.
Mais me comprendras-tu ?. Je pleure sans raison. »
Et la femme toujours regardait l’horizon.

-« Mère, vous me cachez sans doute quelque chose.
Vous savez que jamais on ne pleure sans cause ;
Moi, quand je vais pleurer dans un coin, tout boudeur,
C’est quelque gros chagrin qui m’oppresse le cœur…
Et vous en avez un ! vous avez beau sourire.
Oh ! je t’embrasserai, si tu veux me le dire ! »

La mère l’embrassa cent fois et puis cent fois ;
Et son cœur débordait dans ses yeux, dans sa voix,
Pendant que, sur son sein pressant la tête blonde,
Elle accablait son fils des plus doux noms du monde.
Se faisant un remords de l’avoir tourmenté,
Sa douleur sembla fuir devant sa volonté :
L’enfant vit sur son front la gaîté reparaître ;
Mais un dernier regard consulta la fenêtre.

-« Mes chagrins, Olivier, n’étaient que de l’ennui ;
Ta voix les a chassés; je veux rire aujourd’hui.
Pour te remercier, je vais te dire un conte
De quelque méchant ogre ou de quelque beau comte. »

-« Pas de contes! Oh! non, vois-tu, je n’y crois pas ;

J’aime bien mieux du vrai ! Parle-moi de soldats.
Quand sous les grands ormeaux, le soir, je t’accompagne,
Tu m’as souvent promis la guerre de Bretagne ;
Ou bien, si ce sujet t’arrache encor des pleurs,
Car tu dis que de là viennent tous tes malheurs,
Parle-moi de ces preux qui, la croix à leur lance[3],
Ont pour le saint Tombeau fait assaut de vaillance ;
On y vit, n’est-ce pas, des sires de Clisson ? »

Un humide regard plana sur l’horizon.

-« Vous êtes, mon enfant, issu de noble race :
Vos aïeux dans l’histoire ont tous laissé leur trace ;
Mais si je vous disais ce qu’ont fait vos aïeux,
Oh ! n’allez pas lever un front trop orgueilleux :
L’orgueil est un péché. » — « Je le sais bien, ma mère ;
Je ferai, si je peux, mieux qu’eux… sauf à me taire. »

Je ne sais si l’orgueil est toujours interdit,
Mais, si c’est un péché, la mère le commit ;
Car, perçant l’avenir, déjà son espérance
Courbe aux pieds de son fils la Bretagne et la France.

[1] Jeanne de Belleville attendait son mari, non pas à Clisson, mais dans le château de Saint-Yves, près d’Hennebont. P. LEVOT, Biogr. bret., I, page 36o.

[2] « On donna aux murs du château de Clisson seize pieds d’épaisseur, en les établissant sur une base en roches de granit. » – LA FONTENELLE DE VAUDORÉ, Hist. d’Olivier de Clisson, I, 290.

[3] Sur les banderoles des lances des Croisés et sur les croix qui y étaient peintes, voir MONTFAUCON, Monwn. de la monarchie franc., I, 384 et suiv., et MICHAUD, Hist. des Crois., I, 110.

Françoise Gouraud accouche dans la prison du château de Clisson : 1721

Je vous ai déjà parlé des différentes prisons qui ont existé à Clisson, car il fallait distinguer justice seigneuriale et justice royale. Je vous avais même mis sur ce blog une liste de prisonniers dans les prisons royales situées sur la paroisse Saint Jacques.

Mais à ce jour, je n’avais encore rencontré aucun cas de prisonnier dans la prison du château. Or, voici, sur le registre de la paroisse Notre Dame, en 1721, un accouchement en prison du château :

Le 17 septembre 1721 paroisse Notre Dame de Clisson « Françoise Gouraud prisonnière au chateau de ce lieu épouse d’Antoine Robineau est accouchée en la prison d’en enfant mort lequel a été porté à Saint Gilles où se mettent les enfants morts nés après avoir été visité de la justice, ladite Gouraud de la paroisse St Jacques »

 

Une femme en prison ! c’était plus rare que les hommes…

Relévé exhaustif du registre paroissial de Notre Dame de Clisson : 1669-1719

… Le dépouillement d’un registre présente en lui-même un attrait analogue à celui du miracle de Lazare. L’acte de naissance de ces morts du XVIIIe siècle, qui n’ont même plus de tombes, les restitue partiellement à la vie…

… La grande histoire peut mépriser les humbles en elle anonymes, comme sont en nous anonymes les millions de globule de notre sang. Mais ni elle, ni la petite histoire, ni même le roman, quelles que soient les précisions et la couleur de son récit, ne peuvent donner ce caractère d’authenticité, ce parfum de fleur desséchée… Hervé BAZIN – Vipère au poing.

J’ai eu ce plaisir, et voyez plutôt en quelle quantité !!!

Après les registres de la paroisse de la Madeleine du Temple près Clisson,  de Saint Gilles près Clisson, et de St Jacques de Clisson, que je vous livrais il y a peu, voici celui de Notre Dame de Clisson, et ce sur les 50 premières années.

Il y a peu je vous livrais le dépouillement exhaustif des plus anciennes années de la paroisse de Saint Jacques de Clisson, années très abimées et lacunaires du fait des Guerres de Vendée.

Aujourd’hui je vous livre le dépouillement exhaustif de la suite, à savoir les années 1669 à 1719, de la paroisse de Notre Dame de Clisson, années très abimées et lacunaires du fait des Guerres de Vendée. Ces années furent celles du Jansénisme dans cette paroisse et vous allez décrouvrir la présence des femmes dans les actes de BMS, et même leur culture, puisqu’elles sont nombreuses à signer.

La paroisse est le centre du bourg, côté ouest, et surtout celle du château.
Je vous avais montré qu’il y avait beaucoup de paroisses à Clisson, et des cimetières très variés à Saint Jacques, Saint Gilles et La Madeleine, sans oublier la Trinité que je ferai plus tard. Mais la paroisse Notre Dame, trop petite et centrale n’avait aucun cimetière, ce qui signifie que ceux qui n’avaient pas les moyens d’être enterrés dans l’église étaient inhumés dans le cimetière de la paroisse toute voisine de Saint Gilles, et ils sont nombreux, d’ailleurs après la Révolution, c’est ce cimetière qui sera retenu, avec celui de la Trinité, par la commune.

Je viens de refaire ma page HTML (page de mon site en mode HTML) qui donne la liste et les liens de tous mes relevés gratuits, et j’ai été émue de revoir tant d’années après l’immensité de mon travail gratuit et bénévole, totalement libre d’accès sur mon site sans aucune adhésion, contrairement aux associations qui vendent et demandent une adhésion payante.

J’ai par contre, à cette occasion, fait le tour d’Internet, à la recherche des relevés gratuits, et j’ai été tristement stupéfaite de constater que la gratuité n’est pas de mise !!! et pourtant, rien de plus simple sur Internet !!!

Voir mes relevés gratuits, qui concernent l’Orne, la Mayenne, La Loire-Atlantique, le Maine-et-Loire, et même les Côtes d’Armor.

ET VOICI MES RELEVES EXHAUSTIFS DE CLISSON

Clisson Mariages 1668-1749    

 Clisson Mariages 1750-1789

Clisson La Madeleine du Temple BMS 1668-1710

Clisson Saint Gilles BMS 1669-1728

Clisson la Trinité BMS 1668-1669

Clisson Notre Dame BMS 1669-1687  

Clisson Notre Dame BMS 1688-1719

Clisson Saint Jacques 1668-1717

La place des femmes dans les registres de Clisson : baptême en 1716

1716.12.16 LETOURNEUX Michel « Michel fils de Jeanne Lore épouse de Jacques Letourneux marchand, parrain Michel Blavet marraine Magdeleine Paviot »

Jamais je n’avais vu de baptême ainsi libellé, et pourtant j’en ai retranscrit des milliers.

Le prêtre écrit toujours « fils de monsieur et madame », et je n’avais jamais vu « fils de madame et monsieur » !!!

Je vous ai déjà mis ici sur ce blog d’autres actes attestant de l’influence Janséniste à Clisson et leur place faite aux femmes.

Je trouve cela très sympathique de lire de tels actes !

Pas vous ?

 

Actes disponibles aux ARCHIVES NATIONALES concernant Odet et Claude de Bretagne

Voici les références de documents disponibles aux ARCHIVES NATIONALES

Parmi ces documents, dont je ne peux acheter la photo numérique, car je ne suis pas Crésus, certains me font envie, ceux qui concernent Clisson. Si vous vous sentez une âme (ou une carte bancaire) pour aider Clisson, merci d’avance, et de mon côté je m’engage à les retranscrire à partir de vues numériques, c’est tout ce que je peux faire, mais je le fais bien et volontiers.

Vous constaterez que chez les notaires de Paris, on a bien le même nom DE BRETAGNE pour cette branche, certes descendante d’un bâtard, mais qui s’est fait respecter sous ce nom.

Minutes de Catherin FARDEAU (MC/ET/XXXIII/34 – MC/ET/XXXIII/43)

Minutes. 1556, 8 avril – 1557, 17 avril (MC/ET/XXXIII/41)

Cotes : MC/ET/XXXIII/4112 juin 1556

Obligation de 2.300 livres par Odet de Bretagne, comte de Vertus, premier baron de Bretagne, seigneur d’Avaugour et de Clisson envers René Le Tonnelier, marchand, drapier, bourgeois de Paris.

 

Minutes de Raoul BONTEMPS (MC/ET/XXIII/34 – MC/ET/XXIII/223)

Minutes. 1609, 13 janvier – juillet (MC/ET/XXIII/118)

Cotes : MC/ET/XXIII/11810 juin 1609

  • Transport par Pierre FEYDEAU, avocat en Parlement et Catherine LANGLOIS, sa femme, à Claude de BRETAGNE, comte de VERTUS, Seigneur d’AVANGOIN, héritier de Charles de BRETAGNE, son père, d’une rente qui leur fut constituée par feu Odet de BRETAGNE, aussi comte de VERTUS

 

Minutes de Simon FOURNIER (MC/ET/III/447 – MC/ET/III/541)

Minutes. 1610, juillet – 1610, décembre (MC/ET/III/489) Cotes : MC/ET/III/48918 août 1610

BRETAGNE (Claude de) comte de Vertus conseiller du roi en ses Conseils gouverneur de Rennes lieutenant aux évêchés de Rennes Dol, Vannes, Saint-Malo demeurant à Clisson en Bretagne § Constitution par Claude de BRETAGNE et Guillaume FOUCQUET de la Varenne chevalier conseiller au Conseil d’état gouverneur d’Angers à Maximilien de BETHUNE duc de Sully Pair de France de 6000 l. de rentes moyennant 30 000 lts

 

Minutes et répertoires du notaire Jean DUPUYS, 24 septembre 1616 – 3 septembre 1648 (étude XXXIV)

Cote : MC/ET/XXXIV/99 CHAMPTOCÉ (aumônerie de) diocèse d’Angers § Procuration par Louis de LONGBUISSON prêtre, doyen de l’Egl. Collégiale N.D du Clisson diocèse de Nantes et Aumônier de CHAMPTOCÉ demeurant à Clisson pour résigner sad. aumônerie (28 juin 1647)

Cote : MC/ET/XXXIV/111 Voir le détail

Obligation par Pierre Perrin, écuyer, sieur de la Courbe Jolliot près Clisson en Bretagne, à René Albert maître tailleur d’habits de la somme de VI/XX/ L., savoirs 90 L. pour vente d’un habit (description) et 30 L. pour dépense de bouche faite depui …(2 juin 1618)

Cote : MC/ET/XXXIV/99 Voir le détail

CLISSON (église collégiale Notre-Dame de) chapelle simple d’Angleterre § Procuration par Antoine de MAHÉ prêtre du diocèse de Nantes, prieur commendataire de Saint-Blaize, ordre de Saint-Benoît, diocèse de Tours, chapelain de la Chapelle simple d’An …(28 juin 1647)

 

Minutes de Jean II CHAPELLAIN (MC/ET/XXIV/328 – MC/ET/XXIV/368)

Minutes. 1630, mai – août (MC/ET/XXIV/329)

Cotes : MC/ET/XXIV/329, fol. IIII/XX/II20 juillet 1630

BRETAGNE (Claude de) Baron d’AVANGOUR, comte des VERTUS et de GOELLE, premier baron de BRETAGNE, gouverneur de la ville de Rennes, lieutenant pour le Roi en la Haute Bretagne, conseiller de S.M. en ses conseils d’Etat et Privé § Quittance de Charles LE PREVOST, seigneur d’OYSONVILLE, à Daniel COCQUART, procureur en Parlement, fondé de la procuration de Claude de BRETAGNE datée du 16 juillet 1630, qui était à Paris, enseigne du Boisseau, rue Coquillière (pièce jointe).

 

Minutes de Charles François de SAINT-VAAST (MC/ET/LXXIII/344 – MC/ET/LXXIII/474)

Minutes. 1639, avril – 1639, juin (MC/ET/LXXIII/353)

Cotes : MC/ET/LXXIII/353, fol. III/C/XIII26 mai 1639

DULAC (Christophe) conseiller du Roi, trésorier de France en Poitou, demeurant rue du Colombier paroisse Saint-Sulpice § Transport par Christophe DULAC de son droit au bail de la maison où il demeure, à Catherine de LA VARENNE, veuve de Claude de BRETAGNE, comte de VERTUS, moyennant 800 livres de loyer annuel.

 

Minutes de Nicolas BAULDRY (MC/ET/XIX/425 – MC/ET/XIX/457)

Minutes. 1646, janvier – juin (MC/ET/XIX/433) Cotes : MC/ET/XIX/43324 février 1646

CLISSON (paroisse de la Trinité de) en Bretagne § Procuration pour vendre une maison à paroisse de la Trinité de CLISSON

 

Minutes de Claude I ROYER (MC/ET/I/168 – MC/ET/I/236)

Minutes. 1694, juillet – 1694, décembre (MC/ET/I/200)

Cotes : MC/ET/I/2009 août 1694

Contrat de mariage entre Gonsalve Joseph Carvalho Pattalin, intendant des bâtiments et maisons royales du Portugal, et Marie Claire Geneviève Bretagne de Vertus, fille de Claude de Bretagne, rue des Prouvaires.

 

Minutes de Claude II ROYER (MC/ET/I/236 – MC/ET/I/239)

Minutes. 1709, janvier – juin (MC/ET/I/236) Cotes : MC/ET/I/23631 mai 1709

Procuration générale par Armand François de Bretagne, comte de Vertus, demeurant en son hôtel particulier, rue Saint-Dominique, quartier Saint-Germain-des-Prés, paroisse Saint-Sulpice, héritier par bénéfice d’inventaire en partie d’Anne Faure, son aïeule maternelle, veuve de Thomas Le Lièvre, conseiller du roi en son conseil, maître des requêtes ordinaires et président du Grand Conseil, héritier par représentation d’Anne Judith Le Lièvre, sa mère, épouse séparée de biens de Claude de Bretagne, son père, baron d’Avaugour, à Agathe de Bretagne d’Avaugour, sa sœur, fille majeure, pour gérer et administrer ladite succession.