Comptine oubliée « Quand mon grand-papa mourra j’aurai sa vieille culotte, quand mon grand-papa mourra j’aurai sa culotte de drap ».

Je m’aperçois que certains billets sont encore sur mon ancien blog, et je vais tenter de tout transférer sur ce blog. Voici un ancien billet :

Nous sommes nombreux à avoir en tête le début de cette comptine, que j’ai souvent entendu dans mon enfance. Elle illustre le drap de laine foulée d’autrefois : solide et chaud. Elle illustre aussi un monde plus respectueux de l’environnement que la mode des vêtements jetables rapidement tant ils sont de mauvaise qualité !
Hélas, nous avons tous oublié la suite de cette merveilleuse comptine.
Aussi je lance ici un appel à l’aide.
Quelqu’un a-t-il la suite ?
Merci à toute personne pouvant m’indiquer où trouver la suite de cette comptine, et même les notes de musique si c’est possible.

  • Commentaires parus à l’époque :
    1. Bernadette, 28 décembre 2007

    Cette comptine ne date pas d’hier et elle est probablement régionale, mais hormis faire les vide-grenier ou la foire aux livres du mardi place de la Bourse. je ne sais pas où il est possible de la dénicher.

      28 décembre 2007 à 16:29, par Galissonnière

    Voici ce dont je me souviens, mais mes souvenirs sont beaucoup plus anciens que les vôtres !

    Quand mon grand papa mourra j’aurai sa vieille culotte
    Quand mon grand papa mourra j’aurai sa culotte de drap
    Oui j’aurai sa ch’mise et sa casquette
    Oui j’aurai sa dépouille complète
    Quand mon grand papa mourra j’aurai sa culotte de drap

    Il y a peut-être une suite, mais je ne la connais pas

    Contrat de compagnie de musiciens, Angers, 1557

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    Voici un document exceptionnel, par le sujet, la musique, et par l’esprit de solidarité ! Aussi je vous laisse le découvrir :

    L’acte qui suit est extrait des Archives Départementales du Maine-et-Loire, série 5E2 – Voici la retranscription : Le 19 novembre 1557 en la court royale d’Angers (Marc Toublanc notaire) endroit personnellement establiz chacun de Guillaume Dallibert Guillaume Goupil et Jehan Desuille joueurs d’instruments demeurant Angers soubzmetant eux leurs hoirs ou pouvoir confessent avoir fait et font les accords qui s’ensuivent
    • c’est à savoir qu’ils et chacun d’eux ont promis et promectent l’ung à l’autre de jouer ensemblement du jourd’huy jusqu’à 3 ans prochainement venant tant de viollons cornetz haulbois que autres instruments sont ils ont acoustumé jouer user en leurs geutz touttefois et quantes qu’ils en seront requis tant de ceste ville d’Angers que d’autres lieux sans qu’ils s’entre puissent laisser pendant ledit temps ne qu’ils puissent aller jouer ne eulx séparer en autres compaignies ains faire chacun d’eulx bien deument et honnestement leurs debvoirs ainsi qu’il est et sera requis et qu’ils ont acoustumé faire

      le cornet de cette époque était le cornet à bouquin, ci-dessus

    • et se rendront l’un chez l’autre immédiatement eulx seront mandez par le premier d’eux en telle maison qu’il sera advisé par l’un d’eulx soyt en la maison dudit Dallibert ou autre maison en ceste ville pour eulx recorder à jouer toutefois et quantes qu’il en sera besoing
    • et participeront en tant l’ung que l’autre ès gains deniers esmoluements qui leur seront baillez et payez lors et quand ilz auront joué ensemblement
    • aussi est dit que si l’ung d’eulx estoyt mallade et qu’il ne peust vacquer pour ladite malladie à jouer avecq les deux autres pour le regard de ce qu’ilz jouront et gaigneront en ceste dite ville et ailleurs ils sera néanmoins payé et participera audit gain autant que les autres pourveu toutefois qu’eulx trois ensemble soient mandé et appelez pour jouer et qu’ils jouent de son instrument comme dict est et non autrement,
    • et est tout ce faict à la peine de chacun 20 escuz sol et de tout autre despens et indemnités de peine du jour d’huy stipulée les ungs à l’encontre des autres et à eulx applicable et payable de leur consentement en cas de deffault ces présentes néanmoins demeurent
    • tellement que à tout ce que dessus est dict tenir et accomplir obligent lesdites parties l’ung vers l’autre eulx leurs hoyrs et mesmes leurs biens à prendre vendre et aussi comme deppositayres en justice et leur corps à tenir prison comme pour les propres affaires du roy notre sire renonczant etc foy jugement condemnation
    • ce fut fait et passé audit Angers par devant nous Marc Toublanc notaire de ladite court présents à ce Guillaume Thomyn et Pierre Cochart demeurant audit Angers tesmoings

    Cette vue est la propriété des Archives Départementales du Maine-et-Loire. Cliquez pour agrandir.

      Nos 3 musiciens ont une belle signature, certes différente de celle des officiers de justice, que nous avions vue maniérées avec des volutes, mais elles attestent des gens cultivés.

    Odile Halbert – Reproduction interdite sur autre endroit d’Internet Merci d’en discuter sur ce blog et non aller en discuter dans mon dos sur un forum ou autre blog. Tout commentaire ou copie partielle de cet article sur autre blog ou forum ou site va à l’encontre du projet européen

    Etude de l’INSEE : France, portrait social – Edition 2008

    Lorsque j’ai une info actuelle, je resitue toujours l’équivalent autrefois : comment cela se passait, comment cela ce serait passé.
    Ainsi, l’INSEE vient de publier son rapport social 2008.

  • Population
  • Au milieu du 16e siècle, la France, avec approximativement 18 millions d’habitants, est le pays le plus peuplé d’Europe. (Jouanna A., La France du 16e siècle, 1483-1598, PUF, 1996)
    Selon l’INSEE, en 2008, avec 63,8 millions, elle vient au 2e rang, derrière l’Allemagne, et talonnée par le Royaume-Uni.

  • Naissances hors mariage
  • AU 16e siècle, fort peu.
    Selon l’INSEE, en 2008 en France, plus d’une naissance sur deux se fait hors mariage.

  • Logement
  • AU 16e siècle, la nourriture est le poste principal des budgets, pas la logement qui n’a ni électricité, ni eau courante, ni sanitaires.
    Selon l’INSEE, en 2008, les logements sont plus confortables mais pèsent plus sur le revenu des ménages. Mais, 350 000 logements sont encore dépourvus soit d’eau courante, soit de sanitaires. L’électricité pour sa part doit être partout, encore qu’il y a peu de temps j’ai vu à la télé des maisons isolées ne la possédant pas.

  • Structure des dépenses
  • L’alimentation est le poste principal du budget au 16e siècle.
    Selon l’INSEE en 2008, c’est le logement suivi par les transports, puis vient l’alimentation talonnée par les loisirs.

  • Revenus
  • Autrefois, pas de revenu distinct pour la femme, alors dite « femme au foyer » quelque soit sa charge de travail dans l’exploitation agricole et à la maison.
    Selon l’INSEE, en 2008, 17 700 euros de salaire moyen : C’est ce qu’ont touché en moyenne l’ensemble des salariés en 2006, avec un avantage pour les fonctionnaires d’État (22 851 euros, contre 17 156 dans le privé).
    La rémunération des femmes est inférieure de 27 % à celle des hommes. Dans le privé, les femmes gagnent même, en moyenne, 32 % de moins que les hommes

    Je coyais vraiement que les femmes rattrapaient un peu le fossé des rémunérations depuis les 15 ans que j’ai cessé le travail. Manifestement, il n’en est rien. Bigre, les choses avancent plus que lentement…

    la Beaumontrie des Vaslin à Saint-Quentin-les-Anges, 1647

    Je descends des Vaslin du Bourgneuf en Saint-Quentin-les-Anges, qui furent sergent royal, chirurgien, avant de donner mon maréchal en oeuvres blanches…

    Cliquez la carte de Cassini pour l’agrandir

    Pour les étudier j’ai tenté de les reconstituer en relisant le registre paroissial plusieurs fois, y compris la totalité des actes pour tenter de trouver de qui ils auraient pu être parrain ou marraine. En effet, dans un baptême, le prêtre donne souvent plus de renseignement sur la qualité des parrain et marraine que sur les parents, et dans tous les cas, ce sont les parrain et marraine qui signent pas les parents, dont pour avoir leur signature il faut impérativement les trouver en tant que parrain et marraine.

    Donc, relisant encore avec patience, c’est le cas de le dire car la mère se prénome Patience, je trouve enfin un élément supplémentaire concernant mon Jean Vaslin

      il est chirurgien (cela n’est pas une découverte car cette mention figure sur tous les baptêmes de ses enfants)
      il est « sieur de la Beumontrie » (c’est la seule et unique mention de ce type sur tout le registre)


    Cliquez pour agrandir. Cette image est la propriété des Archives Départementales de la Mayenne

    Je me réjouis de ma trouvaille. Puis je tente d’identifier le lieu de la Beaumontrie, avec ou sans e comme Beaumonterie, et avec ou sans tronquature :

      Dict. de la Mayenne, Abbé Angot : néant
      Dict. du Maine et Loire, C. Port : néant
      Base des toponymes de la Mayenne en 1901 (site des AD) : néant
      logiciel des toponymes de France, CD de l’IGN : néant

    Soit le nom a disparu, soit c’est le nom de la maison et non un nom de terre.
    Or, l’abbé Angot, à l’article du Bourgneuf (tome 1er), indique :

    Une grande belle maison du 15e siècle est à l’entrée du village

    Le village du Bourgneuf était autrefois situé sur les voies de communication, et il fut même paroisse. Il ne restait plus qu’une chapelle au 16e siècle et début du 17e dans laquelle Catherine Vaslin est inhumée au début de l’épidémie de 1639.
    Ce village, situé non loin du bourg, a la particularité

      d’être plus important que le bourg,

      d’être à cheval sur Châtelais et Saint-Quentin-les-Angers, c’est à dire à cheval sur le Maine-et-Loire et la Mayenne.


    Cliquez le Cadastre Napoléonien pour l’agrandir – Propriété des Archives Départementales de la Mayenne


    Cliquez le Cadastre Napoléonien pour l’agrandir – Propriété des Archives Départementales du Maine-et-Loire.

    Je suppose que cette grande maison dont parle l’abbé Angot fut la demeure des Vaslin au sens de la famille élargie, comme on le faisait souvent autrefois. Et si je suppose que c’est la leur, c’est qu’ils ont le rang social le plus à l’aise de tout le village.

    Maintenant, cette maison ne figure pas dans la base de données de M. H. et j’ignore donc si elle existe envore plus d’un siècle après la note de l’abbé Angot. Mais elle s’appelait très probablement la Beaumontrie, et fut sans doute construite par un certain Beaumont.

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    Coût de construction d’une maison de métayer, Chazé-Henry, 1680

    Nous avons déjà vu la construction d’une charpente neuve sur un logement d’exploitant agricole, et voici la construction d’un logement d’habitation d’exploitant agricole :

    La Crechère est située à 2,5 km N.E. du bourg de Chazé-Henry

    Cette image est la propriété des Archives Départementales du Maine-et-Loire, plan cadastral dit Napoléonien. Je la mets ici pour l’identification des bâtiments.

    L’acte qui suit est extrait des Archives Départementales de la Mayenne, série 3E1-501 – Voici la retranscription de l’acte : Le dernier jour de mai 1680 avant midy par devant nous Guillaume Leseure notaire de Craon y demeurant furent présents en leurs personnes establis et duement soumis chacuns de noble homme Daniel Allain sieur de la Noüe demeurant à présent aux forges de Paimpont province de Bretagne estant de présent en cette ville qui a volontairement prorogé etc renonçant etc d’une part, et honneste homme Jean Boynaud maître maçon demeurant en cette ville de Craon d’autre part, entre lesquelles parties a esté fait l’acte de convention qui ensuit, qui est que ledit Boynaud a promis et s’est obligé faire à ses despends les murailles d’un logis au lieu et métairie de la Cochère paroisse de Chazé-Henry appartenant audit sieur de la Noüe de 50 pieds de longueur dehors en dehors et de 22 de largeur, laquelle muraille aura 2 pieds d’épaisseur, les longères de 8 pieds de haulteur hors la terre, les fondements posés sur le solide sera pour séparer les combles dudit logis dans la chambre une petite muraille de reffente (refend, le mur de refend est un mur porteur qui divise l’espace intérieur) à hauteur de poultre et qui en servira, ladite muraille d’un pied et demy d’épaisseur, auquel logis fera iceluy Boynaud 3 ouvertures de porte savoir une pour le principal comble, l’autre pour une chambre et l’autre pour l’estable à bestieux de hauteur et largeur ordinaires, comme aussy fera iceluy Boynaud une autre muraille faite pareille à celle cy-dessus pour séparer la chambre dans l’étable aux bestiaux, 2 gemées ? à chaque costé des estable, au nord et au midy, 2 ouvertures de 2 pieds de largeur et 2,5 de haulteur, auxquelles portes et fenêtres aposera et engravera des gonds et grilles qui luy seront fournies parledit sieur de la Noue, auquel corps de lotis fera ledit Boynaud une cheminée au pignon proche la pièce, de 6 pieds de largeur, et un four avec thuile et bloc pour lequel four faire fournira ledit Boynaud de tuile et bloc au surplus de ce qui se trouvera au vieil four l’ouverture duquel sera dans ladite cheminée, lequel sera de grandeur de tenir 6 boisseaux de bled boulanger mesure de cette cour sur pareille pique que dessus sans cheminée à l’autre bout et pignon dudit corps de logis,
    pour lesquelles murailles ledit Boynaud fera transporter la pierre du vieil logis à l’aplassement qui luy a esté marqué par ledit sieur de la Noue, lequel Boynaud fera livrer la pierre qui sera nécessaire pour la construction dudit logis cirdonstances et dépendances d’iceluy qui luy sera fait rendre à place par ledit sieur de la Noue
    seront lesdites murailles cy-dessus faites à pierre et terre
    sera fourny par ledit sieur de la Noue audit Boynaud 3 boisseaux de chaux pour mettre à la cuve ? de la cheminée
    et a ledit Boynaud promis et s’est obligé rendre les murailles cy-dessus desnommées bien et dument faites prestes à recepvoir la charpente dans le quinziesme jour d’août prochain
    et est faite la présente convention moyennant la somme de 204 livres 10 sols que ledit sieur de la Noue promet et s’oblige payer audit Boynaud dans le dit jour 15 août prochain en laquelle somme cy-dessus est compris le prix desdites terre boisseaux de chaux cy-dessus,
    et délivrera ledit sieur de la Noue copie des présentes audit Boynaud dans huitaine
    tout ce que dessus a esté ainsy stipullé et accepté par lesdites parties lesquelles à ce tenir etc s’obligent etc tous leurs biens à prendre vendre par défaut etc dont etc
    fait et passé audit Craon à nostre tablier présents Tugal Delaunay sergent et René Meaulain praticien demeurant audit Craon tesmoins à ce requis et appelés
    lequel Boynaud fera pareillement tirer la terre

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    Albert Laumaillé, un cycotouriste avant l’heure

    Avec l’autorisation de Raymond Henri, voici sa demande, qui s’adresse à toute famille ayant des papiers et souvenirs concernant ce Castro-Gontérien, précurseur du cyclotourisme.

    Bonjour,

    Tout d’abord mes félicitations pour votre site, fruit de vos remarquables et patients travaux.

    Je travaille actuellement sur une Histoire du cyclotourisme et j’en suis venu à m’intéresser à Albert Laumaillé, originaire de Château-Gontier. Je pense qu’il peut s’agir de la même personne figurant dans votre arbre généalogique des Jallot.
    A partir de 1868, il parcourut la France et de nombreux pays à vélocipède puis à grand bicycle, il participa à des courses (il gagna notamment un Dijon-Besançon en 1870). En 1875, avec Henri Pagis, il battit à bicycle le record de Paris à Vienne en 12 jours et 10 heures, détenu par un cavalier. En 1878, il effectua un voyage de 4 000 km en France, Italie et Suisse. Il visita l’Algèrie.
    Avec l’âge, il change de monture. A l’aube de l’automobile, on le trouve vainqueur d’une course en Belgique (1896).
    Jusqu’à son décès qui serait survenu en en 1901, il parcourut l’Europe en tricycle à pétrole.
    Comment est-il mort, à 53 ans ? Je ne sais.
    Louis Bonneville en parle dans son ouvrage paru en 1939 : Le vélo fils de France. S’il s’agit bien de la même personne comme il est probable, je comprends mieux qu’ayant épousé une héritière fortunée il ait pu passer son temps à vagabonder sur les routes. Mais je ne vois pas comment il a pu exercer sa charge de maire (sans doute pas très longtemps ?), et que son ménage ait été une réussite.

    Mais peut-être connaissiez-vous tout cela. A part quelques autres détails sur ses  » exploits  » cyclistes, je ne connais rien de ce personnage original qui mérite qu’on s’y intéresse.

    Recevez mes cordiales salutations.

    Raymond HENRY

    Si vous connaissez une famille qui puisse avoir des renseignements sur Albert Laumaillé, merci de faire signe.

    Voici ce que donnait mon fichier JALLOT :
    Achille JALLOT °Pouancé 18.12.1800 †StSauveur-de-Flée(49) 22.2.1860 Fils de François-Jacques JALLOT & de Marie-Adélaïde BLANCHET Polytechnicien, Colonel de Génie, Officier de la Légion d’Honneur, Chevalier de l’Ordre de Léopold, Dr de l’Arsenal de Metz, il était spécialiste des fortifications. Il se retira en 1858 au Chateau du Houssay en St-Sauveur-de-Flée. x Longwy Mélanie CLAUDE

  • 1-Yves-Charles-Achille JALLOT °Longwy 1840 †Louroux-Béconnais 22.2.1888 Dont postérité suivra
  • 2-Marie JALLOT x Albert LAUMAILLE SP maire de St-Sauveur-de-Flée, il hérite de son beau-père le Chateau du Houssay
  • Est-bien le cycliste, et avez vous des renseignements ?
    Merci

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