Jean Davost au service de Lancelot d’Andigné à l’Isle Briand : Le Lion d’Angers 1611

Il lui doit de l’argent et doit céder une rente due sur Laval. Encore une de ces difficiles manières de se faire payer quand le débiteur est loin, car il y a plus d’une journée de cheval entre Le Lion d’Angers et Laval !
Curieusement ce Jean Davost ne sait pas signer, pourtant il sait créer des obligations et les céder, donc bien gérer un portefeuille. Nos ancêtres, comme nos contemporains savaient mieux compter qu’écrire.

Cet acte est aux Archives Départementales du Maine-et-Loire, série 5E6 – Voici sa retranscription (voir ci-contre propriété intellectuelle) :

Le 24 octobre 1611 avant midi, par devant nous René Garnier notaire en la cour royale d’Angers furent présents establiz Jean Davost demeurant à présent en la maison seigneuriale de l’Isle Briand paroisse du Lion d’Angers d’une part, et honnorable homme André Lasnier marchand demeurant à Laval d’autre part, soubzmettans respectivement eux leurs hoirs etc confessent avoir fait et accordé entre eux ce qui s’ensuit, scavoir est que ledit Davost a quitté ceddé et transporté et par ces présentes quitte cèdde et transporte audit Lasnier présent stipulant et acceptant la somme de 223 livres 2 sols 6 deniers qu’il a assuré audit Lasnier luy estre justement deue par Loys Duchesne demeurant audit Laval par obligation passée par Achon notaire audit Laval, laquelle il a promis bailler et mettre es mains dudit Lasnier dedans 8 jours prochains venant pour s’en faire payer dudit Duchesne tout ainsy que ledit Davost eust peu et faire pourroit, et à ceste fin a mis et subrogé met et subroge ledit Lasnier esdits droits accordé veult et consent qu’il y soit subrogé par justice ; et est faite la (f°2) présente cession moyennant pareille somme de 223 livres 2 sols 6 deniers, que ledit Lasnier s’est obligé et a promis payer en l’acquit dudit Davost dedans 8 jours à Lancelot d’Andigné escuier seigneur de Maynneuf demeurant en la maison seigneuriale de l’Isle Briand vers lequel a ledit Davost reconneu et confessé estre tenu de pareille somme de prest à luy fait auparavant ce jour à ses nécessités et applications, et de ladite somme en fournir audit Davost acquit et quittance dudit d’Andigné dedans huitaine à la peine de tous despens dommages et intérests ; dont et de ce que dessus lesdites parties sont demeurées d’accord et l’ont stipulé et accordé et à ce tenir etc garantir etc obligent respectivement etc renonçant etc foy jugement condemnation etc fait et passé Angers présents Pol Delhommeau et Jehan Vigrou tesmoings, ledit Davost a dit ne scavoir signer

Comment les futurs époux se connaissaient-ils autrefois entre Laval et Clisson en 1843

C’est le cas de Paul Mechinaud, l’architecte

Il y a 135 km entre Clisson et Laval.
Aucun lien entre les familles et leurs ascendants côté Mechinaud (Clisson) et Conilleau (Martigné et Ernée, et Laval)

Le futur vient à 23 ans de Clisson à Laval se marier en 1843, et il est accompagné de son père, de son grand père et de son beau frère.
En d’autres termes, les 4 ont roulé en cariole à cheval (pas de voiture à l’époque) et comme un cheval ne fait que 40 km par jour il faut en changer plusieurs fois, ou bien dormir en route dans une hôtellerie.
A mi-chemin on passe par Segré, mais cela n’est pas suffisant pour le changement de cheval.
Le grand père n’est pas jeune et a fait un tel voyage !!! car à l’époque les routes ne sont certainement pas bitumées et bien carossées, d’ailleurs entre Nantes et Laval, cela n’a jamais été parfait, de nos jours encore !

Alors, ce mariage m’intrigue beaucoup et je cherche à comprendre comment les futurs se sont connus ou par qui ils ont été présentés, car ce n’est certes pas une affaire de clan familial et/ou cercle d’amis et relations. Encore moins de profession.

Merci de vos pistes éventuelles.

En 1840 il est architecte lors de la construction du nouveau presbytère. Né en 1820 il n’a alors que 20 ans !!!
Il construit les écoles de Gétigné & StHilaire-du-Bois, la salle d’asile de l’Hôpital, les églises de Mouzillon, Gorges, StHilaire, Gétigné, Cugand & Treize-Septiers. Il travaille à l’acquisition par la mairie de l’Hôtel de France. (selon J.J. Couaspel conservateur à la Garenne-Lemot décédé). Son testament (1.1.1879 dvt Me Lavennier Nre à Clisson) fait sa veuve usufruitière, sa cousine Marie Audineau légataire universelle, sa soeur Pauline une rente de 1200 F/an payable mensuellement. La propriété Nidoie, sur la route Nantes-Poitiers à Clisson, un jardin potager, le Bois Huaud à Gorges sont rachetés par sa veuve. 100 600 F sont versés à Pierre Richard & 19 000 F à Louis Branger. La rente Hevin est versée par Melle Audineau (in jugement de 1898, & PV du 26.6.1900)

Il se marie à Laval, sans que j’ai pu à ce jour comprendre comment un mariage si loin, et l’époux est venu avec père, grand père (69 ans) et beau-frère, soit « Laval le 13 mai 1843 le sieur Paul Méchinaud architecte, 23 ans, né à Clisson le 29 avril 1820, y domicilié avec ses père et mère, fils mineur du sieur Paul Mechinaud marchand de bois à ce présent et consentant et Marie Anne Joséphine Baron consentante selon son autorisation donnée à Clisson le 6 mai, et demoiselle Marie Louise Angélique Conilleau, 29 ans, née à Martigné (53) le 29 mars 1814, domiciliée à Laval avec sa mère rue Rennaise, fille majeure de feu Pierre Julien Conilleau décédé audit Martigné le 15 février 1840 [non, il est décédé à Ernée], et de Marie Victoire Josèphe Clouard ci présente et consentante… en présence du sieur René Clouard propriétaire à Ernée, 60 ans, oncle de l’épouse, Pierre Louis Henri Conilleau négociant à Laval, 22 ans, son frère, Pierre Méchinaud propriétaire, 69 ans, aïeul de l’époux, Pierre René Hévin, pharmacien, 32 ans, beau frère, domicilié à Clisson »

Jean Adron à Angers pour emprunter : Pouancé 1594

Jean Adron, qui est venu de Pouancé à Angers, a pour caution le couple de Laurent Gault et Jeanne Morineau, qui est certainement un proche parent. C’est extrêmement rare de voir une épouse caution aux côtés de son mari ! Pour tout dire, malgré les innombrables constitutions de rente que je vous ai mises, je pense que c’est la première fois que je rencontre un tel cas !

Quant aux prêteurs, ce sont encore des chanoines, gens aisés, qui avaient au titre de leur chapitre, des fonds de dotations et ils prêtaient avec beaucoup de rigueur, ainsi, encore une fois, ils font payer en plusieurs termes l’an. Donc, il fallait venir 4 fois par an payer à Angers depuis Pouancé ! Si vous regardez bien les km que cela représentait, donc des frais et du temps, c’est une grande rigueur des prêteurs, et ce pour un montant relativement modeste tout de même.

Cet acte est aux Archives Départementales du Maine-et-Loire, série 5E5 – Voici sa retranscription (voir ci-contre propriété intellectuelle) :

Le 25 juin 1594 ont esté présents et soubzmis soubz la cour royale d’Angers (dvt Jehan Lefebvre) Jehan Adron marchand sieur de la Goupillère demeurant à Pouancé, Me Laurens Gault Sr de la Saulnerye et Jehanne Morineau sa femme de lui autorisée, et Gatian Delanoe drappier demeurant audit Angers paroisse st Pierre, lesquels et chacun d’eulx seul et pour le tout sans division de personne ne de biens ont vendu créé et constitué et par ces présentes vendent créent et constituent à vénérables et discrets les chanoines et chapître monsieur St Maurille dudit Angers en la personne de discret Me François Dasneau prêtre chanoine dudit st Maurille, à ce présent et acceptant, lequel a achapté pour ledit chapitre et leurs successeurs la somme de 4 écus 16 sols 6 deniers de rente annuelle et perpétuelle rendable et payable par lesdits vendeurs auxdits du chapitre ès mains de leur boursier (f°2) des anniversaires de ladite église aux 25 septembre, décembre, mars et juin par quartes, premier payement commenczant le 25 septembre prochain, et à continuer de terme en terme, laquelle rente lesdits vendeurs ont assise et assignée assient et assignent généralement et spécialement sur tous et chacuns leurs biens meubles et immeubles présents et advenir et sur chacune pièce seule sans que le généralité ne le spécialité puissent desroger l’une à l’autre, o puissance d’en faire assiette suivant la coustume d’Anjou ; la présente vendition et constitution de rente faite pour le prix et somme de 51 écus 18 sols tz payé en notre présence par ledit Dasneau auxdits vendeurs qui l’ont prinse en quarts d’escu et douzains suivant l’ordonnance royale, dont ils se sont tenus contens et en ont quité lesdits du chapitre, lequel Dasneau a dit que ladite somme estre provenue de l’admortissement de 68 (f°3) sols tz pour une part et 8 livres 2 sols par autre de rente vendue et constituée auxdits du chapitre par feu Me René Bertran et par ledit Dasneau receue de Me Claude Frobert recepveur des consignations suivant la distribution faire auxdits du chapitre des deniers provenus de la vente des héritages dudit Bertran ; à laquelle vendition constitution de rente et tout ce que dessus est dit tenir etc garantir etc dommages etc obligent lesdits vendeurs chacun d’eulx seul sans division etc o renonciation au bénéfice de division et encores ladite Morineau au droit velleyen à l’autenticque si qua mulier et à tous autres droits faits en faveur des femmes à elle donnés à entendre, qui sont que femme ne se peult obliger ne pour aultruy interceder et fust pour son mary sinon qu’elle y ait renoncé autrement elle en peult estre relevée, dont etc fait audit Angers auparavant midy par devant nous Jehan Lefebvre notaire royal en Anjou à notre tabler présents Me Lucas Gendron advocat (f°4) Angers et Me …. Boullay praticien demeurant audit Angers tesmoings et ladite Morineau dit ne savoir escrire ne signer. »

le chanoine Georges Durville, archéologue et historien oublié de Wikipedia

Georges DURVILLE °Clisson 15 juin 1853 †3.3.1943 chanoine. Il est cousin de mes ascendants MECHINAUD par sa mère Mélanie MECHINAUD.
Dans les années 1950, un de ces DURVILLE était horloger sur le port du Pouliguen, et ma grand-mère maternelle, descendante des MECHINAUD de Clisson, ne manquait jamais de s’arrêter saluer ce cousin, comme elle disait, sans préciser le degré de cousinage, car elle avait le terme cousin très large.

Georges Durville est ordonné prêtre du Diocèse de Nantes en 1877, vicaire à Ste Croix de Nantes, chanoine au chapitre de la cathédrale en 1906. Il consacre son temps aux recherches historiques et archéologiques. Conservateur du Musée Thomas-Dobrée de Nantes (1924-1937). – Vice-président de la Société archéologique de Nantes

Si je vous en parle ce jour, c’est que je tente de revoir les MECHINAUD pour répondre à Pascal Lucas sur Paul Mechinaud, aussi cousin de moi-même et du chanoine Durville.
Voulant donc parler ce ce lointain cousin, dont je possède quelques ouvrages, j’ai cherché sur Internet, et rien sur Wikipedia, du moins à son nom, car il est cité parfois comme auteur pour des lieux qu’il avait étudié.

Rien sur le site de la Socièté d’histoire et d’Archéologie de Nantes, dont il fut membre. Rare document sur Gallica. Par contre il est connu de :

IdRef (Identifiants et Référentiels pour l’Enseignement supérieur et la Recherche) est une application Web développée et maintenue par l’ABES. qui émane de l’ABES (Agence Bibliographique de l’Enseignement Supérieur). Malheureusement ce site est réservé aux universitaires, et je n’ai pas de droit d’accès aux documents numérisés.

Voici la liste chronologique de ses publications. Elle atteste une immense capacité de travail, et vous verrez que certaines oeuvres ont été publiées après sa mort seulement.

• 1891 : Blain et Bobelein au VIe siècle – Vannes Lafolye – cité sur le site de l’IdRef
• 1898 : Château-Ceaux aux VIe, VIIe et VIIIe siècles / G. Durville / Vannes : impr. de Lafolye – cité sur le site de l’IdRef
• 1899 : Les Anciens fiefs de Nantes du Xe siècle à la Révolution / par l’abbé G. Durville / Vannes : impr. de Lafolye – site de l’IdRef
• 1900-1901 : Etudes sur le vieux Nantes d’après les documents originaux 1, [Texte imprimé] / par l’abbé G. Durville / Vannes : Impr. Lafolye – site de l’IdRef – en 2 volumes et en ma possession
• 1903 : Le cartulaire de Saint-Serge d’Angers, impr. de Joubin et Beuchet frères (Nantes) – BNF numérisé sur Gallica – réédition 2018 vendue à la FNAC – site de l’IdRef
• 1903 : Sermons de saint Bernard en langue romane, impr. de Joubin et Beuchet frères (Nantes) – BNF numérisé sur Gallica
• 1904 : Le Testament de Françoise de Dinan, dame de Chateaubriant, 31 décembre 1498, son sceau et sa signature – Nantes Impr. de A. Dugas – site de l’IdRef
• 1904 : Catalogue de la Bibliothèque du Musée Thomas Dobrée Tome premier, Manuscrits / par l’abbé G. Durville / Nantes : au Musée Thomas Dobrée – site de l’IdRef
• 1904 : Études sur le vieux Nantes, vues et plans pour l’illustration du premier volume, avec texte explicatif, par l’abbé G. Durville,… – Nantes A. Dugas – site de l’IdRef
• 1905 : Les Deux manuscrits royaux du musée Dobrée / par M. l’abbé G. Durville / Paris : Impr. nationale – site de l’IdRef
• 1906 : Les Faux Autographes d’Anne de Bretagne [Texte imprimé] : Le faux autographe de la Bibliothèque nationale (fonds Béthune) et ceux qui en procèdent / Abbé G. Durville / Nantes : impr. de A. Dugas – site de l’IdRef
• 1907 : Le Chapitre de l’église de Nantes, aperçu sur son histoire du VIIe siècle au Concordat… / G. Durville,… / Nantes : impr. de A. Dugas – site de l’IdRef
• 1907 : La Psallette de la cathédrale de Nantes, sa fondation par l’évêque Henri le Barbu (1413) – Nantes Impr. de A. Dugas – cité sur le site de l’IdRef
• 1909 : L’ancienne Confrérie du Saint-Sacrement à Nantes (1462-1790) – Nantes Impr. de Biroché et Dautais – site de l’IdRef
• 1910 : Construction du mur de ville sur la Motte Saint-Pierre en 1658 – Nantes Impr. de A. Dugas – site de l’IdRef
• 1910 : Odyssée d’une somme consignée par le Duc de Bretagne à Notre Dame de Paris, extrait du bulletin de la Société Archéologique de Nantes, 25p – imp. A. Dugas et Cie – téléchargeable en .PDF
• 1913 : Les Fouilles de l’évêché de Nantes (1910-1913) / Nantes : Bureaux de la Société archéologique – site de l’IdRef
• 1914 : Mandement du chapitre de l’église cathédrale de Nantes, à l’occasion des obsèques d’illustrissime et révérendissime Père en Dieu Mgr Pierre-Émile Rouard, évêque de Nantes, et de l’élection des vicaires capitulaires. [Signé : G. Durville, secrétaire. 23 février 1914.] – Nantes impr. de Biroché et Dautais – cité sur le site de l’IdRef
• 1915 : Etudes sur le vieux Nantes d’après les documents originaux 2, [Texte imprimé] / par G. Durville,… / Vannes : Impr. Lafolye – site de l’IdRef – livre en ma possession
• 1916 : Les Grandes chroniques de Bretagne, par Alain Bouchart. Additions de 1518 ; leur provenance, – Nantes, Impr. armoricaine 1916. In-8°, 42 p. – cité sur le site de l’IdRef
• 1916 : Voyage de Louis XIV à Nantes (29 Août-6 Septembre 1661), par chanoine Durville (59 pages). – Bulletin de la Société Archéologique de Nantes et La Loire-Inférieure, 1916, tome 58
• 1916 : Anne de Bretagne et la statue de la Justice du tombeau des Carmes, par Chanoine Durville (18 pages). – Bulletin de la Société Archéologique de Nantes et La Loire-Inférieure, 1916, tome 58
• 1916 : Bulle de Clément VIII et diplôme de docteur en théologie, délivré par H. Silvius, Général de l’ordre des Carmes (1604), par Chanoine Durville (9 pages). – Bulletin de la Société Archéologique de Nantes et La Loire-Inférieure, 1916, tome 58
• 1918 : Voyage de Louis XIV à Nantes, 29 août-6 septembre 1661 – Nantes, Impr. armoricaine 1918. In-8°, 59 p. – cité sur le site de l’IdRef
• 1925 : Mémoires (en 3 tomes), 1484-1498 / Philippe de Commynes ; édités par Joseph Calmette,… avec la collaboration du Chanoine G. Durville,… / Paris : Librairie ancienne Honoré Champion éditeur – cité sur le site de l’IdRef
• 1926 : Le Musée d’archéologie et les revendications de la ville de Nantes, – Nantes, impr. C. Mellinet 1926. In-8, 43 p. [104] – cité sur le site de l’IdRef
• 1927 : Catalogue du musée archéologique de Nantes, impr. de Dupas (Nantes) – BNF numérisé sur Gallica
• 1927 : Anne de Bretagne et ses souvenirs réunis au musée Dobrée, – Rennes, impr. du Nouvelliste In-8°, 36 p – cité sur le site de l’IdRef
• 1928 : Deux pièces néolithiques trouvées en Loire : une hache emmanchée et une petite écope – Rennes, impr. du Nouvelliste 1928. In-8°, 8 p. fig. – cité sur le site de l’IdRef
• 1928 : De la Déformation officielle des noms de lieux, – Rennes, Impr. du Nouvelliste 1928. In-8°, 40 p. – cité sur le site de l’IdRef
• 1965 : Mémoires Tome III, 1484-1498 [Texte imprimé] / édités par Joseph Calmette,… ; avec la collaboration du chanoine G. Durville,… / 2e tirage / Paris : Les Belles Lettres – site de l’IdRef
• 1977 : Etudes sur le vieux Nantes d’après les documents originaux 2, [Texte imprimé] / par l’abbé G. Durville / Bruxelles : Editions Culture et civilisation – site de l’IdRef
• 1977 : Etudes sur le vieux Nantes d’après les documents originaux 1, [Texte imprimé] / par l’abbé G. Durville / Bruxelles : Editions Culture et civilisation – site de l’IdRef
• 1984 : l’abbaye de blanche couronne et ses prieurés Cette étude a été publiée par l’Association culturelle Bretagne Vivante et contient un chapitre sur le Couvent Saint Hilaire ou plus précisément le Prieuré du Tertre. Editée en 1984, elle contient les travaux effectués par le chanoine Georges Durville vers 1927 et jamais édités auparavant faute de crédits. Ces travaux sont à la source de la plupart des publications ultérieures qui souvent oublient de citer leur auteur. Voir le site de Bouée

Cette liste n’est sans doute pas tout à fait exhaustive, mais j’ai fait ce que j’ai pu et si vous avez d’autres sources, merci d’avance.
Mais avouez que sur Wikipedia on trouve des individus actuels de peu d’intérêts, et on ne trouve pas des chercheurs oubliés !
Odile HALBERT

Il y a encore des maires qui font la charité à TOUTES les personnes âgées : j’ai honte du repas de solidarité chaque année !

Sur ce blog, en 2008, je vous signalais déjà mon écoeurement devant cette mesure idiote, issue d’autres temps, vis à vis des personnes âgées !
2008 : Les personnes âgées ne sont plus toutes pauvres !

Rien n’a changé à Saint-Sébastien-sur-Loire !

J’ai honte chaque année lorsque je reçois dans ma boîte à lettres la lettre émanant de la maison de la solidarité (sic) mairie de Saint Sébastien, invitant les personnes âgées au rendez-vous des aînés, car ainsi se nomme ce repas annuel, pire, j’ai encore plus honte car cette abominable invitation précise que si je n’y viens pas, j’ai droit à un colis gratuit.

MONSIEUR LE MAIRE DE SAINT SEBASTIEN
vous n’avez pas encore compris que vous faîtes honte aux personnes âgées en leur offrant sur les impôts de la commune un repas de solidarité !!!
Ce qui était vrai au lendemain de la seconde guerre mondiale ne l’est plus en 2018 et les temps ont changé.
J’ai HONTE DE VOTRE LETTRE
Odile HALBERT