Chronique de la famille de Cevillé 1638 f°118 de 162
Ces photos sont là pour protéger ce document rarissime. Cette chronique a été intégralement retranscrite, analysée (car tout n'est pas crédible), commentée et complétée. Reportez vous à :  Chronique des Ceville.HTML | histoire des Goucet de Cevillé.PDFhistoire des Cevillé.PDF
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de toiles. Il mourut de contagion en sa maison à Château-Gontier à la montée du Petit St Jean, 10 jours avant la Toussaint 1628. Il s’appelait « Monsieur du Boulay ». Il était fort grand, fort sociable et fort soigneux des nécessités de son ménage. Il instruisit fort ses enfants en la crainte et confiance de Dieu, sur toutes choses. Sa veuve est encore vivante avec grand nombre d’enfants et vivent le plus et le mieux de leur petit travail.  Ce que j’en écrit de leur famille, je l’ai appris d’elle et du papier journal dudit René Yvon son mari. Leurs enfants sont Renée, Jeanne, Françoise, Nicole, Jeanne, Jacques, Nicole, Marguerite, Renée, Michel, Louise, Marie, René, Georges, Françoise, François et Pierre les Yvons, qui sont 17 enfants
Michel Chesneau fils et frère des susdits et comme il est déjà prouvé en la famille des Chesnays en l’article de Nicolle Chesnays sa mère, fut né et baptisé le 10.4.1589 par Michel Potier prêtre, ses parrains Jacques Pelé prêtre, et Pierre Chesnays, sa marraine Michelle Hamelin femme de François Lebret. Il a épousé Madeleine Delanoë. Il est teinturier à Château-Gontier. Il est assez haut, gras de visage et de bonne complexion de corps. Il a été fort sujet à ses passions de frapper et dire tout ce qu’il pense, d’où vient qu’il lui en a beaucoup coûté. Il se laisse souvent emporter au vin. Il témoigne à mon père et moi de bons et libres services. Il hante assez souvent les religieux. Sa femme est de très bonne vie et fort encline à la dévotion et est dans Château-Gontier dans cet estime là. Ils ont eu

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  chronique des Cevillé 

par Odile Halbert Travaux personnels relevant de la propriété intellectuelle