Mathurin Bonnissant, premier investisseur quartier Saint Jacques en 1815

Mathurin Bonnissant est le 12ème enfant de Pierre Nicolas Bonnissant et Catherine Douillard qui ont eu encore 4 enfants après lui, du moins à ce que j’en ai trouvés. Vous avez toute sa famille BONNISSANT et les charpentiers de navire de Chantenay sur mon site.

Donc ses parents ont eu 16 enfants au total. Comme vous vous doutez bien, peu ont survécu, mais tout de même assez pour que le métier de son père ne soit plus pour Mathurin car ses aînés le prendront avant lui. Son père était charpentier de navires, c’est ainsi qu’on dénommait alors les constructeurs de navires à Chantenay, et comme je vous le racontais hier, il construisait des bâteaux de cabotage, donc des bâteaux plus petits que ceux qui traversaient l’Atlantique, qui eux étaient construits chez Crucy, le grand constructeur connu des Nantais.

C’est dire tout de même que Mathurin Bonnissant a grandi dans le cabotage, sur le quai du cabotage, avec les navires du cabotage. Bref, lui, et toute sa famille, baignaient dans le cabotage. Donc, à défaut de prendre le métier de charpentier de navires, puisqu’il est puîné, Mathurin entre tout naturellement commis aux vivres dans la marine, c’est à dire qu’il sera en permanence en contact sur le port avec tous les bâteaux venant de Bordeaux et du Havre livrés les marchandises, et aussi des chalands de Loire qui font la jonction avec les villes situées sur la Loire. Tous cela c’était encore au 19ème siècle, juste avant l’arrivée du chemin de fer qui devait tout changer et détruire le cabotage et la navigation sur Loire des chalands. J’y reviendrai.

Mais pourquoi diable disait-on charpentier de navires et non constructeur de navires  ? La réponse est simple, c’est la fin de la construction de bâteaux à voile et en bois, car le métal et le moteur arrivent au cours de ce 19ème siècle. Ainsi, la famille Bonnissant aura été l’un des derniers charpentiers de navire, entendez bien qu’ils sont constructeurs de bâteaux en bois et à voile et de cabotage. Je vous remets ci-dessous ces bâteaux à voile tant j’aime ces vues.

Voici les vues de la fin du cabotage à Nantes, vues sur lesquelles je ne détache pas mon regard depuis plus de 3 semaines, pour vous conter une histoire terrible, mais vraie, et certainement vécue par de nombreux enfants. Ces vues datées de 1882, sont tirées de l’ouvrage de Victor Malte-Brun, géographe. On y voit l’agonie du cabotage : voyez les bateaux, qui sont à voile mais plus petit que les autres, et entre parenthèse, vous avez aussi les chalands de Loire, eux aussi disparus.

 

Mathurin BONNISSANT °Chantenay (44) 12.3.1772 †Nantes 13 février 1833 Fils de Pierre-Nicolas BONNISSANT & de Catherine DOUILLARD. x1 Nantes 3°division 6 août 1806 Marie Marthe PALVADEAU °Chantenay 5 août 1787 †Nantes 3e 18 février 1807 x2 Nantes 26 septembre 1814 Marie-Françoise SOULARD °Le Loroux-Bottereau 31.8.1776 †Nantes 16 août 1837 Voir famille SOULARD

1-Mathurin-Claire BONNISSANT °Nantes 12 août 1816 « ordonné prêtre de Saint-Sulpice le 19 décembre 1840 il immigre au Canada le 24 octobre 1847, Prêtre de l’église paroissiale de Montréal. Il décède le 14 novembre 1886 ». SP

2-Joséphine-Marie BONNISSANT °Nantes 12 août 1816 †Nantes 3.11.1870  Demi-soeur de la tante Lebraire x1 Nantes 2.7.1838 Jean HALBERT °Le Loroux-Bottereau(44) 6.4.1804 †Nantes 25.9.1851 x2 Nantes 2.2.1853 Etienne CHAUVET °Rouans Boulanger. Fils de Jean et de Victoire Péron Dont postérité

Mathurin Bonnissant, au cours de son travail de commis aux vivres constate qu’il pourrait développe son métier d’acheteur de marchandises, pour fournir d’autres clients que la marine, c’est à dire les Nantais. En effet la femme qu’il épouse en 1814 tient épicerie place de la Cathédrale. Et l’épicière ne demande que tout plein de marchandises arrivant dans sa boutique. Le couple se lance donc dans ce qu’on appellera durant environ 150 ans, le commerce de gros, tout en gardant pour madame le détail place de la Cathédrale.

Mais pour recevoir et stocker toutes ces marchandises, achetées en plus grande quantité et à meilleur prix, il faut stocker et donc un entrepôt. Et pour que l’entrepôt soit rentable le couple a l’idée de l’installer hors zone urbanisée de Nantes.

Souvenez-vous que sur ce blog, je vous ai déjà parlé que le quartier saint Jacques n’était que jardins passé la chapelle Bonne Garde, et ce jusque et pendant la Révolution.

Vous avez aussi sur mon blog le premier recensement, celui de 1814, qui confirmait ce que je viens d’écrire, à savoir après la chapelle Bonne Garde uniquement

 

Saliot 2 rez,2 1er, tenue Pacreau Pierre jardinier Nantes
Gaudin H. 2 rez,2 1er, jardin Gaudin François tisserand Brest
Champalloyne 2 rz, jardin Tillot Julien laboureur Rezé
Pasquereau 2 rez, 1 1er, jardin Galard Jacques tisserand Maine et Loire
Alard 3 rez, moulin Alard Laurent farinier Nantes
Bigot 2 rez, moulin Bigot Sylvestre farinier Nantes
Poilâne 2 rez, moulin Poilâne Julien farinier Calvados
Maisdon 3 rez, moulin Maisdon Jean farinier Vertou
Poisneau 2 rez, moulin Poineau Jean farinier Chapelle Basse Mer
Renaud Pierre ? 2 rez, écurie, 3 1er, hangar
Cotrel métairie Briand Julien laboureur Fay
Saupin 2 rez Cormerais Sébastien poitier ? St Sébastien

Jardins et moulins, et même  des moulins en fin de vie, car ils sont eux aussi concurrencés par le plus grosses minoteries hors Nantes.

C’est le rencencement de 1818 qui atteste du premier investissement hors zone urbaine de Nantes d’alors, en la personne de Mathurin Bonnissant, qui est mentionné alors comme « marchand de menues denrées ». En fait, on ne connaissait pas encore d’épiciers en gros ni de drogueries car il fait à la fois les balais et la nourriture, bref beaucoup de denrées.

Et comme vous l’avez bien compris, ce premier arrivant d’ailleurs pour installer un entrepôt en zone péri-urbaine, est mon ancêtre car je descends de son unique fille. Il a bien eu un fils, mais prêtre.

La route de Clisson commence à l’actuelle rue de la Ripossière. En 1814 elle comptait 12 logements, dont 5 moulins à farine, et avait attiré de loin : ainsi Brest, Le Calvados.

Ce recensement de 1818 est très intéressant car il donne aussi le montant du loyer, et les loyers semblent élevés. Il y a un nouvel investisseur propriétaire, Bonnissant, qui est le 12ème enfant de 16 [rassurez-vous, ils n’ont pas tous atteint l’âge adulte, car entassés dans une pièce à Chantenay, ils mouraient vite] d’une famille de charpentiers de navire à Chantenay, venue de la Manche, que vous avez sur mon site car je l’ai longuement étudiée. Ce Mathurin Bonnissant a commencé sa carrière dans la marine comme COMMIS AUX VIVRES, métier qui existe encore de nos jours, toujours sous la même appellation et la même fonction : fournir aux marins les vivres.

Il a manifestement exercé un métier parallèle car il a économisé de quoi investir, et le fait qu’il investisse route de Clisson illustre l’attrait qu’elle a dû avoir pour investir, compte tenu de son statut campagnard de l’époque, c’est à dire tout à fait différent de la ville. Son acquêt marque la fin prochaine des meuniers propriétaires à la Croix des Herses, que je vous raconte dans mes prochains billets.

Enfin, vous remarquerez que la tenue [terre noble autrement dit fief, relevant d’un autre fief] est dénommée terre rouge et non Clos Torreau.

Je n’ai pu vous présenter en tableau mais voici comment se lit ce qui suit :

Salliot propriétaire 2 p basses, écurie, chambre et grenier, tenue dite terre rouge derrière description du logement Bahuaud J. née Bretonnière habitant jardinière profession de l’habitant Nantes lieu de naissance de l’habitant 50 son âge 300 loyer en francs Ve état matrimonial, 4 fils, 2 filles enfants habitants dans ce logement

Jounneaud Charles logement de ferme Jounneau Charles laboureur Nantes 40 50 M, 1 fils

Monnier François maison entière Boudeaud Louis débit de vin Bazoges, depuis 4 ans à Nantes 50 300 M

Pasquereau 2 rez, 1 1er, jardin Guillot Madeleine Vve Gallard tisserand Langeron, depuis 40 ans à Nantes 55 40 Vve, 2 fils, 2 filles

Lourmaud logement Tendron François cultivateur Orvault, depuis 20 ans à Nantes 54 40 M, 1 fille

Allard moulin, maison basse 3 p Allard Laurent farinier Nantes 30 200 M

Allard moulin, maison Allard Laurent meunier Nantes 57 200 Vf, 1 fils, 1 fille

Lutz moulin, maison Bigot Silvestre meunier Nantes 70 200 M, 4 fils, 3 filles

Lutz moulin, maison Poislane Julien meunier La Boissière, depuis 50 ans à Nantes 68 200 M 2 fils, 1 fille

Bonissant moulin, maison Poisneau Jean meunier St Julien, depuis 22 ans à Nantes 39 200 M, 2 fils, 2 filles

Bonissant moulin, maison 3 p Maisdon Jean meunier Vertou, depuis 30 ans à Nantes 200 M, 1 fils, 2 filles

Aubin Vve Le Lion d’Or, maison entière Perrochaud débit de vin Nantes 41 96 M, 1 fils, 2 filles

Renaud maçon Le lion d’Or, maison, écurie, hangar, cour Sorin Vve débit de vin Nantes 44 150 Vve

 

La fin du cabotage dans le port de Nantes : vues de 1882 selon V. Malte-Brun

Voici les vues de la fin du cabotage à Nantes, vues sur lesquelles je ne détache pas mon regard depuis plus de 3 semaines, pour vous conter une histoire terrible, mais vraie, et certainement vécue par de nombreux enfants. Ces vues datées de 1882, sont tirées de l’ouvrage de Victor Malte-Brun, géographe. On y voit l’agonie du cabotage : voyez les bateaux, qui sont à voile mais plus petit que les autres, et entre parenthèse, vous avez aussi les chalands de Loire, eux aussi disparus.

 

 

Nantes, chantiers de construction navale : carte postale de 1908

Je relis tranquillement mes travaux et je m’aperçois que j’ai depuis longtemps sur mon site les cartes postales du port de Nantes, dont une vue des chantiers navals.

La pandémie qui me laisse prisonnière depuis des mois, faute de masques dans les couloirs de ma tour et son ascenseur, a entraînée chez moi une forte tendance à perdre du temps, voire beaucoup de temps à lire et relire et cela est profitable : la preuve, je ne me souvenais pas de cette carte postale alors même que j’ai longuement étudié l’un des chantiers navals, celui des BONNISSANT, qui construisaient des bâteaux de cabotage, activité qui devait disparaître avec l’arrivée de la voie ferrée fin 19ème siècle à Nantes. En fait, je suis depuis des jours fixée sur ce cabotage, car je vais vous conter prochainement une histoire vraie et familiale, qui me touche donc personnellement.

Et comme j’ai sur ces sujets beaucoup de documents, je suis depuis plusieurs jours occupée à mettre sur mon blog un plugin (logiciel adjoint) qui vous permette de feuilleter directement mes énormes fichies .PDF dont pour commencer celui précisémment des BONNISSANT constructeurs de bâteaux de cabotage.

Donc à bientôt, si je parviens à le faire.

Mon étude des familles MOUSNIER de Ménéac (22) et Merdrignac (56) mise à jour

Je salue vivement Simone, 90 ans, pour m’avoir envoyé par voie postale sa descendance à Pierre Marie Mounier °Ménéac en 1824, l’un des frères de mon ancêtre Jacques Mounier.

Je constate que les descendants sont nombreux à Gomené, Ménéac et je vais leur raconter ici l’histoire détaillée de celui qui est parti à Nantes, mon ancêtre. Donc, rendez-vous sur ce blog, et merci de laisser sans crainte un commentaire, jamais votre nom et votre adresse n’y apparaîtront.

En attendant cet énorme travail qui arrive sous peu, je viens de mettre à jour l’étude MOUSNIER avec votre branche, mais sans y mettre les informations trop récentes, qui restent pour moi privées.

Je vous prie de noter une petite modification concernant ma branche, car Jacques Mounier n’eut qu’un fils, non pas prénommé Jacques mais Georges et c’est l’histoire de de fils que vous allez avoir ici prochainement.

Bien à vous

Odile

Elle se noye en portant secours : baignade tragique à Ménéac, 1881

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Nous subissons, actuellement surtout, tant de mauvaises nouvelles, alors qu’il existe aussi ce que Mareck Halter appelle « La Force du Bien », le plus souvent passez sous silence.

Poursuivant mes recherches sur Ménéac et Merdrignac, j’ai relevé toute la presse numérisée, noté les croyances, les vestiges du patrimoine, les faits divers. Parmi ces faits divers, un exemple de la force du bien. Cela fait chaud au coeur de lire tels faits divers, alors  je vais oublier tous les autres, si négatifs :

L’abbé Beuve-Méry[1], recteur de Menéac (diocèse de Vannes), nous adresse cet émouvant récit du dévouement d’une religieuse, qui s’est noyée en essayant de sauver une de ses élèves :

« Monsieur le rédacteur, En ces jours de calomnies et de persécutions, n’est-il pas urgent de montrer, aux ennemis comme aux amis, le religieux tel qu’il est, héroïque partout et toujours? Jeudi dernier, 7 juillet, une dizaine de jeunes filles et d’enfants conduites par deux religieuses se baignaient, vers onze heures du matin, à un kilomètre du bourg de Ménéac, dans un étang dont les eaux ont englouti bien des victimes. Toutes les précautions semblaient avoir été prises; déjà les baigneuses reprenaient leurs vêtements ; une seule, l’organisatrice de la partie, Célestine L…, jeune fille de seize ans, prolongeait obstinément son bain malgré les avertissements de sa maîtresse. Tout en folâtrant, elle dépasse la limite fixée par la maternelle prudence de la sœur, perd pied et disparaît. Sans hésiter, sans quitter ses lourds vêtements (elle ne s’était pas baignée), la plus âgée des religieuses se précipite à son secours, la saisit, mais hélas la roche, coupée à pic en cet endroit, se dérobe sous ses pieds, entraînée par celle qu’elle voulait sauver; elle disparait à son tour. Au bout de quelques secondes toutes deux reviennent à la surface; d’un coup d’œil l’héroïque fille a jugé la situation : sa jeune compagne est déjà tout près de l’endroit fatal, les élèves se précipitent au secours de leur mère ; oublieuse d’elle-même, déjà à demi suffoquée, d’un geste que n’oublieront jamais les témoins de cette scène déchirante, elle ordonne à sa sœur, à ses enfants de s’éloigner, lutte encore quelques instants et disparaît pour ne plus reparaître. Suprême abnégation, qui seule nous a épargné d’autres deuils. Attirés par les cris, quelques faucheurs arrivent, l’alarme est donnée au bourg, dont la population entière accoure sur le lieu du sinistre ; les plus courageux efforts restent sans résultat; enfin, après une heure d’infructueuses recherches on ramène deux cadavres. Samedi dernier, MM. les curés de Merdrignac et de la Trinité-Porrhoët, assistés d’un nombreux clergé et de tout ce que le pays compte de plus honorable, condui saient à leur dernière demeure les dépouilles mortelles de cette mère et de cette fille dont l’une avait aimé l’autre jusqu’à donner sa vie pour elle. Sœur Marie-Angèle (Ursule-Marie Toussainte Gastel, née au Theil, diocèse de Rennes) n’avait que trente ans. Entrée à dix sept ans dans la congrégation des sœurs de l’Immaculée conception de Saint-Méen, elle fut, il y a huit ans, désignée pour coopérer à la fondation d’une école libre que ces dames ouvraient alors dans l’importante paroisse de Menéac. Dieu seul connaît tout le bien qu’elle y a fait. Parfaitement douée sous tous les rapports, elle se dépensait entièrement pour ses élèves ; sa mort a été le digne couronnement de sa vie. Pouvons-nous là plaindre? Elle est morte pour ainsi dire en quittant la sainte table, elle est morte dans l’accomplissement héroïque de la mission que lui avait confiée son divin époux. Beati qui in Domino moriuntur. Agréez, monsieur le rédacteur, l’hommage de mes respectueux sentiments en N.-S. Beuve-Méry, recteur de Menéac, —-, -»

Joseph-Marie Beuve-Méry[2], recteur de Menéac, mort Ploërmel le 13 mai, né à Lorient le 6 mai 1837, il avait été ordonné prêtre le 25 mai 1831, il fut transféré à Arzal le 1er mai 1863, à Glenac, le 1er janvier 1867, à Ploërmel le 28 février 1838, puis devint recteur de Saint-Brieux du Mauron le 1er octobre 1877, et de Ménéac le 16 novembre 1880.

[1] L’Univers, 16 juillet 1881, p

[2] Revue historique de l’Ouest, 1892, n°1, p 145

 

 

 

Etude des familles ESMERIL (EMERY) de Merdrignac (22)

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Je poursuis la mise à jour de mes travaux de 2006 sur Ménéac et Merdrignac, et je viens de mettre en ligne celle de  mes familles  ESMERIL aliàs EMERY de nos jours. Tout ceci toujours dans l’ascendance de mon breton Jacques Mounier, venu à Nantes en 1842. Voici ma ligne directe résumée :

Le tout en Bretagne (Côtes d’Armor) avant 1900, puis Nantes

11-André Esmeril x Merdrignac 17 novembre 1639 Guillemette Gaultier

10-Perrine Esmeril x2 Merdrignac 30 juin 1670 Mathurin Amiaux

9-Claude Amiaux x1 Merdrignac 12 février 1714 Marie Geffray

8-François Amiaux x Merdrignac 24 juin 1739 Roberde Moreul

7-Pierre-Jean Amiaux x Ménéac 13 février 1783 Perrine Urvoy

6-Perrine Amiaux x Ménéac (56) 20 février 1805 Jacques Mounier

5-Jacques Mounier x Saint-Sébastien-Sur-Loire (44) 29 avril 1851 Victorine Fortin

4-Marie Monier x Nantes 28 septembre 1875 Edouard Halbert

3-Madeleine Allard x Nantes 23 septembre 1907 Edouard Halbert

2-mes parents

1-moi

J’ai fait beaucoup de retranscriptions des registres de Ménéac (56) et Merdrignac (22) que je vous ai mis ici en ligne ;

Merdrignac : baptêmes 1609-1619 notes rapides alpha indexées vues

Merdrignac : baptêmes 1619-1629 notes rapides alpha indexées vues

Merdrignac : baptêmes 1629-1639 notes rapides alpha indexées vues

Merdrignac : baptêmes 1639-1649 notes rapides alpha indexées vues

Ménéac 1566-1579 : baptèmes, retranscription exhaustive. Parrainages filiatifs, lacunes importantes et beaucoup de blancs

Ménéac 1580-1599 : baptêmes, retranscription exhaustive. Parrainages non filiatifs, lacunes importantes.

Ménéac 1600-1625 : baptêmes, retranscription exhaustive. Parrainages non filiatifs, lacunes importantes.

 

mes familles de Ménéac (56) : Dabareul 1600-1720 et Merdrignac | Guillotin 1629-1677 | Lemercier 1556-1750 et Merdrignac | Meance 1578-1730 | Moreul 1600-1740 | Pinel 1629-1670 | Urvoy 1650-1780

mes familles de Merdrignac (22) Amiaux 1610-1780 | Belot 1610-1650 | Chaix 1630-1740 | Cheramy 1621-1650 | Chereu 1611-1640 | Cousdé 1614-1720 | Davy 1610-1614 | Doméon 1621 | Esmeril 1630-1700 | Gaborel 1611-1720 | Gascoin 1620-1697 | Gaultier 1610-1640 | Geffray 1630-1700 | Gilles 1621-1720 | Gorge 1609-1700 | Guyomart 1621-1650 | Hervart 1640-1680 | Jallet 1609-1680 | Labor 1620-1650 | Mabihan 1620-1700 | Michel 1622-1650 | Mousnier 1634-1823 | Ollivot 1630-1700 | Renault  1600-1650 | Surleve  1610-1670 | Trameleu 1635-1680 | Vétil 1629-1700